Ainsi, la commission déplore le fait que les enquêtes de la police prennent beaucoup trop de temps avant d’être complétées. Cela, alors que le droit à un procès rapide est souligné dans la Constitution.
La commission souligne que le problème se pose davantage lorsque les enquêtes concernant des enfants en bas âge. Ces derniers attendent plusieurs années de pouvoir témoigner. Ce qui fait qu’ils oublient certains faits et se contredisent. Ce qui fait que leur témoignage est affaibli. Cela résulte souvent dans la radiation des charges. La commission dit espérer que la Children’s Court va régler ce problème.
La commission souligne que le problème se pose davantage lorsque les enquêtes concernant des enfants en bas âge. Ces derniers attendent plusieurs années de pouvoir témoigner. Ce qui fait qu’ils oublient certains faits et se contredisent. Ce qui fait que leur témoignage est affaibli. Cela résulte souvent dans la radiation des charges. La commission dit espérer que la Children’s Court va régler ce problème.
Autre point important, c’est que la commission reconnait que certaines mesures visant à combattre la Covid-19 ont eu un impact sur les droits des citoyens. Néanmoins, à la décharge des autorités, la commission souligne qu’elles ne pouvaient faire autrement. La commission souligne aussi que certains aspects de la Cybersecurity and Cybercrime Act 2021 impactent sur les droits humains, dont le droit à la vie privée et la liberté d’expression. Mais plus intéressant, la commission explique que la cour suprême va bientôt rendre un jugement qui a trait à la section 250 du code pénal. Il s’agit de la clause qui criminalise les rapports sexuels entre adultes consentants du même sexe. Dépendant de la décision de la cour suprême, cela aura un impact certain sur les droits des LGBTI.