C'est ce qu'on peut comprendre en écoutant les propos du commissaire électoral dans un média.
Irfan Rahman, mine de rien, est têtu. On n'oserait pas, même pour rigoler, ajouter comme une mule. N'empêche qu'il affirme qu'il ne va pas donner d'instruction pour que les règles et autres T-Square ne soient pas utilisés par les officiers dans les bureaux de vote le 22 novembre.
Rappelons qu'il s'agit de la date des élections villageoises. Il souligne qu'il ne va pas leur dire d'en utiliser également. En fait, précise-t-il, c'est à eux de voir comment mettre un peu d'ordre dans les urnes afin que le maximum de bulletins puissent y entrer. Polémique ou pas, il ne va pas bouger sa position d'un iota.
Néanmoins, Irfan Rahman insiste que l'utilisation de règles se fait depuis des décennies, depuis l'époque où lui (le commissaire électoral) officiait comme Returning Officer. Il souligne que cela se fait sous les yeux des candidats et que pour lui, il n'y a pas lieu d'en faire une polémique.
Irfan Rahman, mine de rien, est têtu. On n'oserait pas, même pour rigoler, ajouter comme une mule. N'empêche qu'il affirme qu'il ne va pas donner d'instruction pour que les règles et autres T-Square ne soient pas utilisés par les officiers dans les bureaux de vote le 22 novembre.
Rappelons qu'il s'agit de la date des élections villageoises. Il souligne qu'il ne va pas leur dire d'en utiliser également. En fait, précise-t-il, c'est à eux de voir comment mettre un peu d'ordre dans les urnes afin que le maximum de bulletins puissent y entrer. Polémique ou pas, il ne va pas bouger sa position d'un iota.
Néanmoins, Irfan Rahman insiste que l'utilisation de règles se fait depuis des décennies, depuis l'époque où lui (le commissaire électoral) officiait comme Returning Officer. Il souligne que cela se fait sous les yeux des candidats et que pour lui, il n'y a pas lieu d'en faire une polémique.
