Le modus operandi est connu. Au plus fort de la tempête, le Premier ministre Pravind Jugnauth, se mure dans le silence et laisse passer les vagues. Pourtant c'est la deuxième fois en l'espace de deux mois, où le nom d'un ministre est impliqué dans une affaire de pot-de-vin.
Le 23 février dernier, le leader du Reform Party, Roshi Bhadain avait jeté une petite bombe entre les mains du Premier ministre, concernant un contrat entre le gouvernement et une firme du secteur privé (Harel Mallac Technologie) qui aurait fait l'objet de pot-de-vin. Le nom du ministre des TIC, Deepak Bagolbin a été révélé au grand public dans une affaire de corruption, estimé à Rs 27 millions à travers un compte au Singapour. Qu'a fait Pravind Jugnauth ? Rien. Il a invité Bhadain à s'adresser aux autorités concernées. La firme Harrel Mallac soutient qu’elle a soi-disant des procédures internes solides, en termes de bonne gouvernance. Elle avait décidé, grand seigneur, de procéder à un ‘fact-finding’ audit exhaustif qui a dédouané tout son petit monde.
Avec l'affaire de l'octroi d'un bail non loin de Grand Bassin, ça se complique. Maneesh Gobin gère deux ministères et est aussi secrétaire du MSM. L'affaire glisse aussi sur le terrain sensible de la religion. Pravind Jugnaut sait qu'il ne peut se permettre de se mettre à dos les associations socioculturelles. L'étau se resserre. Plusieurs personnes ont confirmé les allégations de pots-de-vin contre le ministre Gobin et le Parliamentary Private Secretary (PPS) au n°7, Rajanah Dhaliah.
Mais sans compter le char du MSM au no 2. Roubina Jadoo-Jaunbocus qui a mangé son pain noir et a fait sa traversée du désert, est désormais blanchie. Elle se rend tellement indispensable sur le terrain qu’on a eu l’impression que Roubina Jadoo-Jaunboccus est encore ministre en sus de PPS.
Roubina n'a même a poussé ses pions. Le ticket aux prochaines élections semble d’ores et déjà assuré ! Avec le nouveau scandale, Roubina Jadoo-Jaunboccus a un boulevard devant elle. Elle en est consciente et elle se donne les moyens de ses ambitions. Elle a fait tapis comme on dit aux cartes. Si elle remporte la mise, elle décroche le jackpot.
Le 23 février dernier, le leader du Reform Party, Roshi Bhadain avait jeté une petite bombe entre les mains du Premier ministre, concernant un contrat entre le gouvernement et une firme du secteur privé (Harel Mallac Technologie) qui aurait fait l'objet de pot-de-vin. Le nom du ministre des TIC, Deepak Bagolbin a été révélé au grand public dans une affaire de corruption, estimé à Rs 27 millions à travers un compte au Singapour. Qu'a fait Pravind Jugnauth ? Rien. Il a invité Bhadain à s'adresser aux autorités concernées. La firme Harrel Mallac soutient qu’elle a soi-disant des procédures internes solides, en termes de bonne gouvernance. Elle avait décidé, grand seigneur, de procéder à un ‘fact-finding’ audit exhaustif qui a dédouané tout son petit monde.
Avec l'affaire de l'octroi d'un bail non loin de Grand Bassin, ça se complique. Maneesh Gobin gère deux ministères et est aussi secrétaire du MSM. L'affaire glisse aussi sur le terrain sensible de la religion. Pravind Jugnaut sait qu'il ne peut se permettre de se mettre à dos les associations socioculturelles. L'étau se resserre. Plusieurs personnes ont confirmé les allégations de pots-de-vin contre le ministre Gobin et le Parliamentary Private Secretary (PPS) au n°7, Rajanah Dhaliah.
Mais sans compter le char du MSM au no 2. Roubina Jadoo-Jaunbocus qui a mangé son pain noir et a fait sa traversée du désert, est désormais blanchie. Elle se rend tellement indispensable sur le terrain qu’on a eu l’impression que Roubina Jadoo-Jaunboccus est encore ministre en sus de PPS.
Roubina n'a même a poussé ses pions. Le ticket aux prochaines élections semble d’ores et déjà assuré ! Avec le nouveau scandale, Roubina Jadoo-Jaunboccus a un boulevard devant elle. Elle en est consciente et elle se donne les moyens de ses ambitions. Elle a fait tapis comme on dit aux cartes. Si elle remporte la mise, elle décroche le jackpot.
