« Chop my money », lancent-ils dans une lettre aux membres du board d’Air Mauritius, avec copie à tout une panoplie de personnalités et d’organismes, allant de Ken Arian au bureau du Premier ministre.
Les 108 pilotes soutiennent qu’à l’heure où Air Mauritius reconstruit son réseau, regagne des parts de marché érodées et renforce sa présence, leurs conditions de travail ne peuvent continuer à être ignorées. Ils laissent entendre que le secteur de l’aviation a repris ses couleurs… à tel point que la pénurie de professionnels qualifiés se fait déjà sentir. En fait, il y a un parfum de menace. Ils laissent entendre qu’ils pourraient aller voir ailleurs si leurs conditions de travail ne s’améliorent pas. Ils soutiennent qu’il leur est demandé de voler durant leurs jours de repos et de faire des heures supplémentaires cadeau. Sans compter que leurs demandes de congé sont rejetées.
Les 108 pilotes soutiennent qu’à l’heure où Air Mauritius reconstruit son réseau, regagne des parts de marché érodées et renforce sa présence, leurs conditions de travail ne peuvent continuer à être ignorées. Ils laissent entendre que le secteur de l’aviation a repris ses couleurs… à tel point que la pénurie de professionnels qualifiés se fait déjà sentir. En fait, il y a un parfum de menace. Ils laissent entendre qu’ils pourraient aller voir ailleurs si leurs conditions de travail ne s’améliorent pas. Ils soutiennent qu’il leur est demandé de voler durant leurs jours de repos et de faire des heures supplémentaires cadeau. Sans compter que leurs demandes de congé sont rejetées.