Ce mardi, après une insoutenable attente, la magistrate du tribunal de Bambous, Vidya Mungroo-Jugurnauth, a rendu sa décision. Elle a rayé la charge provisoire de trafic de drogue logée contre l’avocat Akil Bissessur.
Ce dernier a déclaré, à sa sortie du tribunal : « Je fais confiance à deux institutions dans ce pays, soit le bureau du DPP et le judiciaire ». Il a remercié ses avocats, notamment Rama Valayden, Sanjeev Teeluckdhurry ainsi que l’ancien chef juge Eddy Balancy, qui a agi comme consultant dans son affaire.
Les parents d'Akil Bissessur ont eux aussi réagi après la décision de la magistrate. C'est avec une émotion contenue et palpable que la mère de l'avocat s'est exprimée en soulignant les deux autres victimes. Notamment la compagne de son fils, Doomila Moheeputh, arrêtée le 19 août 2021 lors d'une perquisition menée par la Special Striking Team (SST) au domicile de la jeune femme à Palma, où le couple se trouvait. Sans oublier, la mère de Doomila Moheeputh, une dame âgée et fragile de santé, victime collatérale.
Mais c'est le père de Akil Bissessur, un ancien fonctionnaire de la douane mauricienne, qui a mené de nombreuses luttes contre le trafic de drogue, qui a été le plus virulent, ce mardi face à la presse. Il a rappelé que le Premier ministre Pravind Jugnauth a sali le nom et la réputation de la famille, dans les 20 circonscriptions de l'île, dans le cadre des célébrations des 40 ans du MSM, l'année dernière. Il a aussi rappelé le rôle infecte de la chaine nationale, la MBC, véritable machine de propagande gouvernementale dans cette affaire.
Rappelons que Pravind Jugnauth dans sa tournée dans tout le pays accompagné des micros et des caméras de la MBC, s'en est pris à quelques membres de la presse, avec de graves allégations et avait décidé de passer à la vitesse supérieure. Pravind Jugnauth avait fait un dangereux parallèle entre la mafia et des journalistes "complices", qui tentent tout pour les protéger. Des discours haineux contre la presse mais aussi des attaques répétées contre l'avocat Akil Bissessur, qui était dans son "radar". C'est avec une certaine jubilation, celui qui clame à qui veut l'entendre qu'il est accessoirement avocat de profession, qu'il avait accusé l'avocat de trafiquant sans la présomption d'innocence.
C'est ainsi que le 15 août dernier, face à la bassesse du leader du MSM, et sa croisade dangereuse et malsaine, haranguant la foule à aller dans ce sens, la Rédaction de Zinfos Moris, avait refusé de couvrir médiatiquement les célébrations des 40 ans du MSM, un parti aux relents raciales avec une idéologie d'extrême droite. A lire : La Rédaction de Zinfos Moris ne participera pas à la propagande du congèrs du MSM à travers l'île
Ce dernier a déclaré, à sa sortie du tribunal : « Je fais confiance à deux institutions dans ce pays, soit le bureau du DPP et le judiciaire ». Il a remercié ses avocats, notamment Rama Valayden, Sanjeev Teeluckdhurry ainsi que l’ancien chef juge Eddy Balancy, qui a agi comme consultant dans son affaire.
Les parents d'Akil Bissessur ont eux aussi réagi après la décision de la magistrate. C'est avec une émotion contenue et palpable que la mère de l'avocat s'est exprimée en soulignant les deux autres victimes. Notamment la compagne de son fils, Doomila Moheeputh, arrêtée le 19 août 2021 lors d'une perquisition menée par la Special Striking Team (SST) au domicile de la jeune femme à Palma, où le couple se trouvait. Sans oublier, la mère de Doomila Moheeputh, une dame âgée et fragile de santé, victime collatérale.
Mais c'est le père de Akil Bissessur, un ancien fonctionnaire de la douane mauricienne, qui a mené de nombreuses luttes contre le trafic de drogue, qui a été le plus virulent, ce mardi face à la presse. Il a rappelé que le Premier ministre Pravind Jugnauth a sali le nom et la réputation de la famille, dans les 20 circonscriptions de l'île, dans le cadre des célébrations des 40 ans du MSM, l'année dernière. Il a aussi rappelé le rôle infecte de la chaine nationale, la MBC, véritable machine de propagande gouvernementale dans cette affaire.
Rappelons que Pravind Jugnauth dans sa tournée dans tout le pays accompagné des micros et des caméras de la MBC, s'en est pris à quelques membres de la presse, avec de graves allégations et avait décidé de passer à la vitesse supérieure. Pravind Jugnauth avait fait un dangereux parallèle entre la mafia et des journalistes "complices", qui tentent tout pour les protéger. Des discours haineux contre la presse mais aussi des attaques répétées contre l'avocat Akil Bissessur, qui était dans son "radar". C'est avec une certaine jubilation, celui qui clame à qui veut l'entendre qu'il est accessoirement avocat de profession, qu'il avait accusé l'avocat de trafiquant sans la présomption d'innocence.
C'est ainsi que le 15 août dernier, face à la bassesse du leader du MSM, et sa croisade dangereuse et malsaine, haranguant la foule à aller dans ce sens, la Rédaction de Zinfos Moris, avait refusé de couvrir médiatiquement les célébrations des 40 ans du MSM, un parti aux relents raciales avec une idéologie d'extrême droite. A lire : La Rédaction de Zinfos Moris ne participera pas à la propagande du congèrs du MSM à travers l'île
