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Ce vendredi matin 14 juin en Cour intermédiaire, un des avocats dans le procès intenté à l'ex Premier ministre Navin Ramgoolam, dans l'affaire des coffres-forts, Me Gavin Glover, un de ses avocats, a présenté une motion réclamant l’arrêt des procédures dont Navin Ramgoolam fait l'objet en vertu de la Financial Intelligence and Anti Money Laundering Act (FIAMLA).
Les avocats de l'ancien Premier ministre voulaient obtenir des informations sur les délits sur lesquels reposent les chefs accusations, notamment les dates et les lieux, ainsi que la liste et l'identité des personnes avec qui Navin Ramgoolam aurait accepté des paiements en liquide excédant Rs 500 000.
Me Denis Mootoo, le représentant la poursuite, a objecté à cette motion, arguant qu'il est prématuré à ce stade de fournir ces informations.
Pour rappel, l'ancien Premier ministre fait face à un procès depuis octobre 2017, sous vingt-trois chef d'accusation à la suite d'une perquisition policière à son domicile à Riverwalk en février 2015. Une somme de Rs 220 millions avait été retrouvée dans ses coffres-forts. L'ex-Premier ministre est poursuivi pour avoir accepté des paiements en espèces, supérieurs à la limite autorisée de Rs 500 000 par la loi contre le blanchiment d’argent, à savoir la Financial Intelligence and Anti-Money Laundering Act (FIAMLA) de 2002.
Le procès se poursuivra le 12 septembre.
Les avocats de l'ancien Premier ministre voulaient obtenir des informations sur les délits sur lesquels reposent les chefs accusations, notamment les dates et les lieux, ainsi que la liste et l'identité des personnes avec qui Navin Ramgoolam aurait accepté des paiements en liquide excédant Rs 500 000.
Me Denis Mootoo, le représentant la poursuite, a objecté à cette motion, arguant qu'il est prématuré à ce stade de fournir ces informations.
Pour rappel, l'ancien Premier ministre fait face à un procès depuis octobre 2017, sous vingt-trois chef d'accusation à la suite d'une perquisition policière à son domicile à Riverwalk en février 2015. Une somme de Rs 220 millions avait été retrouvée dans ses coffres-forts. L'ex-Premier ministre est poursuivi pour avoir accepté des paiements en espèces, supérieurs à la limite autorisée de Rs 500 000 par la loi contre le blanchiment d’argent, à savoir la Financial Intelligence and Anti-Money Laundering Act (FIAMLA) de 2002.
Le procès se poursuivra le 12 septembre.
