Le gouvernement a tenu une conférence de presse à la mi-journée avec un trio de choc: Alan Ganoo, Joe Lesjongard et Bobby Hurreeram.
Après la Private Notice Question où il était question de l'affaire Angus Road qui embarrasse une nouvelle fois le Premier ministre après l'affaire Medpoint. Bobby Hurreeram jouant au bélier de service qui à l'habitude d'enfoncer les portes ouvertes, s'est une nouvelle fois fait remarqué pour son aptitude servile à vouloir protéger à tout prix son leader.
Selon le ministre, il y a des questions qui sont beaucoup plus d’intérêt national que l’affaire Angus Road, qui doivent être soulevées dans l’intérêt de la population. Et de son ton suffisant, de conclure « C’est malheureux que le Leader de l’opposition ne maîtrise guère les Standing Orders »
Le Parlement, considéré comme étant le “Temple de la démocratie” est devenu selon lui, aujourd’hui le “théâtre d'un mauvais cinéma” en qualifiant Arvin Boolell de pire leader de l’opposition de l’histoire!
La boue pé mok la mare
Rappelons que le 14 juillet dernier, on a assisté à une prise de bec entre entre le Whip de l’opposition, Shakeel Mohamed et le ministre des Infrastructures publiques, Bobby Hurreeram, au sein de l'hémicycle.
Evoquant la campagne dont il fait l'objet de la part des membres du gouvernement, Shakeel Mohamed a qualifié Bobby Hurreeram de « dirtiest political player ». En effet, ce dernier continuait d'attiser la braise communale dans ces interventions et ceci à la moindre occasion en évoquant l'«Indian-bashing».
La police est aveugle face aux provocations répétées du beau-frère de Bobby Hurreeram
Piqué dans le vif, Bobby Hurreeram a soulevé un «point of order», puis a traité Shakeel Mohamed de «kapon». Ce qui a alors nécessité l’intervention du Speaker. Ce dernier a alors demandé au ministre des Infrastructures publiques de «withdraw» ce mot utilisé à l’encontre du Whip de l’opposition.
Et le 23 juin 2020, le Speaker Sooroojdev Phokeer avait dû ramener à l’ordre après de vifs échanges entre le ministre des Infrastructures Publiques, Bobby Hurreeram, et le député du Parti Travailliste, Shakeel Mohamed. C’était lors du discours du Supplementary Appropriation Bill, du ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal. Bobby Hurreeram a même quitté sa place dans l'hémicycle et a menacé Shakeel Mohamed. «Anou al CID». Mais le Speaker avait dit n’avoir pas entendu les propos de Bobby Hurreeram. Ce dernier a toutefois retiré ses propos par la suite.
Après la Private Notice Question où il était question de l'affaire Angus Road qui embarrasse une nouvelle fois le Premier ministre après l'affaire Medpoint. Bobby Hurreeram jouant au bélier de service qui à l'habitude d'enfoncer les portes ouvertes, s'est une nouvelle fois fait remarqué pour son aptitude servile à vouloir protéger à tout prix son leader.
Selon le ministre, il y a des questions qui sont beaucoup plus d’intérêt national que l’affaire Angus Road, qui doivent être soulevées dans l’intérêt de la population. Et de son ton suffisant, de conclure « C’est malheureux que le Leader de l’opposition ne maîtrise guère les Standing Orders »
Le Parlement, considéré comme étant le “Temple de la démocratie” est devenu selon lui, aujourd’hui le “théâtre d'un mauvais cinéma” en qualifiant Arvin Boolell de pire leader de l’opposition de l’histoire!
La boue pé mok la mare
Rappelons que le 14 juillet dernier, on a assisté à une prise de bec entre entre le Whip de l’opposition, Shakeel Mohamed et le ministre des Infrastructures publiques, Bobby Hurreeram, au sein de l'hémicycle.
Evoquant la campagne dont il fait l'objet de la part des membres du gouvernement, Shakeel Mohamed a qualifié Bobby Hurreeram de « dirtiest political player ». En effet, ce dernier continuait d'attiser la braise communale dans ces interventions et ceci à la moindre occasion en évoquant l'«Indian-bashing».
La police est aveugle face aux provocations répétées du beau-frère de Bobby Hurreeram
Piqué dans le vif, Bobby Hurreeram a soulevé un «point of order», puis a traité Shakeel Mohamed de «kapon». Ce qui a alors nécessité l’intervention du Speaker. Ce dernier a alors demandé au ministre des Infrastructures publiques de «withdraw» ce mot utilisé à l’encontre du Whip de l’opposition.
Et le 23 juin 2020, le Speaker Sooroojdev Phokeer avait dû ramener à l’ordre après de vifs échanges entre le ministre des Infrastructures Publiques, Bobby Hurreeram, et le député du Parti Travailliste, Shakeel Mohamed. C’était lors du discours du Supplementary Appropriation Bill, du ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal. Bobby Hurreeram a même quitté sa place dans l'hémicycle et a menacé Shakeel Mohamed. «Anou al CID». Mais le Speaker avait dit n’avoir pas entendu les propos de Bobby Hurreeram. Ce dernier a toutefois retiré ses propos par la suite.
