Le journaliste a été violemment agressé dans la soirée du lundi 29 juillet à Port-Louis, non loin de la gare du Nord.
Il souffre de contusions mais n'a rien de cassé. Léonard Odier, rédacteur en chef du quotidien France Mayotte Matin (filiale de Kwézi TV) était à Maurice pour couvrir les jeux des Îles quand il a été violemment pris à partie par deux jeunes d’une vingtaine d’années à Port-Louis.
“J’ai accéléré mes pas quand soudain l’un d’eux s’est jeté sur moi m’assénant le premier coup de poing alors que l’autre m’attaquant par derrière m’en a mis un second qui m’a mis à terre” explique-t-il depuis La Réunion où il s’est envolé mardi soir pour Paris. Tombé au sol, recroquevillé sur le flanc, notre confrère a alors reçu de multiples coups notamment au visage de la part du premier agresseur, tandis que l’autre lui faisait les poches.
Frappé au sol
Le journaliste a pu attirer l’attention d’un passant qui a mis les deux jeunes en fuite, et prévenu la police. Les officiers ont amené Léonard Odier à l’hôpital de Port-Louis puis au poste de police pour porter plainte.
Source et crédit photo : Le Journal de Mayotte
Il souffre de contusions mais n'a rien de cassé. Léonard Odier, rédacteur en chef du quotidien France Mayotte Matin (filiale de Kwézi TV) était à Maurice pour couvrir les jeux des Îles quand il a été violemment pris à partie par deux jeunes d’une vingtaine d’années à Port-Louis.
“J’ai accéléré mes pas quand soudain l’un d’eux s’est jeté sur moi m’assénant le premier coup de poing alors que l’autre m’attaquant par derrière m’en a mis un second qui m’a mis à terre” explique-t-il depuis La Réunion où il s’est envolé mardi soir pour Paris. Tombé au sol, recroquevillé sur le flanc, notre confrère a alors reçu de multiples coups notamment au visage de la part du premier agresseur, tandis que l’autre lui faisait les poches.
Frappé au sol
Le journaliste a pu attirer l’attention d’un passant qui a mis les deux jeunes en fuite, et prévenu la police. Les officiers ont amené Léonard Odier à l’hôpital de Port-Louis puis au poste de police pour porter plainte.
Source et crédit photo : Le Journal de Mayotte