C’est le jackpot ! Le sésame tant couru après a enfin été décroché. L’Icac a entre ses mains le fameux rapport sur l’histoire des pots-de-vin dans l’affaire de la centrale St Louis.
Tout laisse croire qu’il s’agit du document de l’enquête interne de la Banque africaine de développement. Cet organisme avait remis une copie à la firme danoise Burmeister and Wain Scandinavian Contractor, accusée de d’actes de corruption.
D’ailleurs, la BAD avait refusé de donner une copie à l’Icac et aux autorités mauriciennes, leur demandant d’adresser une requête à BWSC. C’est exactement ce que l’Icac a fait. Une équipe d’enquêteurs s’est rendue au Danemark et retournera à Maurice dans une dizaine de jours. Les limiers passeront néanmoins par la quarantaine. Le rapport contient 100 pages.
Tout laisse croire qu’il s’agit du document de l’enquête interne de la Banque africaine de développement. Cet organisme avait remis une copie à la firme danoise Burmeister and Wain Scandinavian Contractor, accusée de d’actes de corruption.
D’ailleurs, la BAD avait refusé de donner une copie à l’Icac et aux autorités mauriciennes, leur demandant d’adresser une requête à BWSC. C’est exactement ce que l’Icac a fait. Une équipe d’enquêteurs s’est rendue au Danemark et retournera à Maurice dans une dizaine de jours. Les limiers passeront néanmoins par la quarantaine. Le rapport contient 100 pages.