Sattar Hajee Abdoula a succédé à Kee Chong Li Kwong Wing à la tête de la SBM Holdings depuis le vendredi 13 mars.
Est-ce la récompense pour services rendus au pays et, surtout, au gouvernement ? Il est certain que le rôle de Sattar Hajee Abdoula dans toute l’affaire BAI reviendra sur le tapis avec cette nouvelle nomination politique.
A noter que Sattar Hajee Abdoula continuera de siéger en tant qu’un des deux assesseurs de la commission d’enquête sur Britam.
Paul Lismore : The Domah commission d'enquête on the botched sale of Britam has so far proved only one thing : that half a truth is often a great life.
C'est l'ancien juge Bushan Domah, qui préside la commission sur la vente de Britam Kenya. Les travaux avaient démarré en juin 2017. Plusieurs politiciens et ministres ont été appelés par la commission. Mais pas Dawood Rawat, qui s’est vu refuser une audience par visioconférence en mai 2019.
Notons que cette commission d’enquête a été instituée afin de faire la lumière sur la vente de Britam, une filiale de l’ex- BAI Kenya, mais aussi sur plusieurs zones d’ombre autour de la transaction de Rs 2,4 milliards en juin 2016.
Est-ce la récompense pour services rendus au pays et, surtout, au gouvernement ? Il est certain que le rôle de Sattar Hajee Abdoula dans toute l’affaire BAI reviendra sur le tapis avec cette nouvelle nomination politique.
A noter que Sattar Hajee Abdoula continuera de siéger en tant qu’un des deux assesseurs de la commission d’enquête sur Britam.
Paul Lismore : The Domah commission d'enquête on the botched sale of Britam has so far proved only one thing : that half a truth is often a great life.
C'est l'ancien juge Bushan Domah, qui préside la commission sur la vente de Britam Kenya. Les travaux avaient démarré en juin 2017. Plusieurs politiciens et ministres ont été appelés par la commission. Mais pas Dawood Rawat, qui s’est vu refuser une audience par visioconférence en mai 2019.
Notons que cette commission d’enquête a été instituée afin de faire la lumière sur la vente de Britam, une filiale de l’ex- BAI Kenya, mais aussi sur plusieurs zones d’ombre autour de la transaction de Rs 2,4 milliards en juin 2016.
