C'est le plus fin qui l'emportera... Ou alors celui qui aura le plus de jokers en main. En effet, évoquant une pénurie de main d'oeuvre sur le marché du travail, le patronat réclame la possibilité de recruter des étrangers.
C'est surtout dans le domaine hôtelier que le manque se fait sentir. Néanmoins, dans ce secteur, seuls des étudiants étrangers sont autorisés à y travailler. Notons aussi que d'autres secteurs sont concernés, à l'instar de la construction, du textile, de l’agriculture et du commerce. Le secteur privé évoque un manque de 5 000 personnes sur le marché. Toutefois, le gouvernement tempère les ardeurs du patronat. Pour lui, si ne serait-ce que la moitié des places vacantes est remplie par des Mauriciens, cela permettra à la courbe du chômage de descendre. Notons qu'à Maurice, il y a déjà 33 000 étrangers qui travaillent. Parmi, au moins 18 000 Bangladais. La priorité du gouvernement est de diminuer le taux de chômage.
C'est surtout dans le domaine hôtelier que le manque se fait sentir. Néanmoins, dans ce secteur, seuls des étudiants étrangers sont autorisés à y travailler. Notons aussi que d'autres secteurs sont concernés, à l'instar de la construction, du textile, de l’agriculture et du commerce. Le secteur privé évoque un manque de 5 000 personnes sur le marché. Toutefois, le gouvernement tempère les ardeurs du patronat. Pour lui, si ne serait-ce que la moitié des places vacantes est remplie par des Mauriciens, cela permettra à la courbe du chômage de descendre. Notons qu'à Maurice, il y a déjà 33 000 étrangers qui travaillent. Parmi, au moins 18 000 Bangladais. La priorité du gouvernement est de diminuer le taux de chômage.
