Alors que les banques publiques et privées peinent à recouvrir leurs argent, Rakesh Gooljaury continu d’imposer son empreinte sur d’autres secteurs.
Après avoir obtenu l’exclusivité sur les espaces publicitaires à l’aéroport et dans le Metro, voilà qu’il s’aventure maintenant dans la presse Magazine. Un mensuel qui sera omniprésent dans tout l’aéroport et les vols d’Air Mauritius.
Avec un gouvernement acquis à sa cause, il n’aura certainement pas de souci à se faire pour obtenir le soutien des institutions étatiques. D’ailleurs le démarchage des pubs a été confiée à une députée (Naveena Ramyad) très en vue du MSM aussi compagne d’un avocat proche des cartels.
Le projet est dirigé par le tandem Rouben Mooroongapillay et le ‘one & only’ Roddy Ramsamy. Avocat de Rakesh Gooljaury, Me Rouben Mooroongapillay est aussi dans les affaires, principalement dans la restauration haute gamme.
Selon un de ses ancien employés, l’avantage de travailler avec Rouben Mooroongapillay c’est qu’on a pas besoin de banque, tout se paie en cash.
Avec un casting qui ressemble à un gratin de cactus, il faut quand même avouer que le magazine porte bien son nom – TIMEOUT.
Après avoir obtenu l’exclusivité sur les espaces publicitaires à l’aéroport et dans le Metro, voilà qu’il s’aventure maintenant dans la presse Magazine. Un mensuel qui sera omniprésent dans tout l’aéroport et les vols d’Air Mauritius.
Avec un gouvernement acquis à sa cause, il n’aura certainement pas de souci à se faire pour obtenir le soutien des institutions étatiques. D’ailleurs le démarchage des pubs a été confiée à une députée (Naveena Ramyad) très en vue du MSM aussi compagne d’un avocat proche des cartels.
Le projet est dirigé par le tandem Rouben Mooroongapillay et le ‘one & only’ Roddy Ramsamy. Avocat de Rakesh Gooljaury, Me Rouben Mooroongapillay est aussi dans les affaires, principalement dans la restauration haute gamme.
Selon un de ses ancien employés, l’avantage de travailler avec Rouben Mooroongapillay c’est qu’on a pas besoin de banque, tout se paie en cash.
Avec un casting qui ressemble à un gratin de cactus, il faut quand même avouer que le magazine porte bien son nom – TIMEOUT.
