Vallée des Prêtres est en veille sanitaire. Et pour cause ! Des 26 cas de dengue recensés à Maurice actuellement, 21 concernent cette région.
Mais si le ministère est en état d’alerte maximale, c’est que les risques d’une épidémie existent bel et bien à Maurice.
L’une des raisons est la présence dans le pays du moustique Aedes albopictus, vecteur de la dengue, du chikungunya et du zika.
Une autre raison est que la malaria est endémique dans plusieurs pays de la région. Sans compter que l’Inde, où il y a des cas de chikungunya et de dengue, représente une destination très appréciée des Maurice. Et en plus, une partie de la main d’œuvre provient de ce pays. Enfin, il y a le nombre d’arrivées à Maurice.
Tout cela fait que nous avons chaque année des cas importés de chikungunya, de dengue et de malaria. Et dans certains cas, il y a des transmissions locales.
Pour ces trois dernières années, concernant le chikungunya, le pays a recensé 0 cas en 2015, 7 cas en 2016 et 3 cas en 2017. Il s’agit de cas importés.
Concernant la malaria, nous avons eu 32 cas en 2015, 25 cas en 2016 et 28 cas en 2017. Il s’agit de cas importés. Heureusement, le pays a été épargné en ce qui concerne le zika.
Mais la dengue est un sujet beaucoup plus préoccupant. Car en 2015, il y a eu 8 cas importés mais 83 cas de transmission locale.
L’année suivante, le nombre de cas importés s’élevait à 20 et celui de transmission locale à 6. Enfin, en 2017, 11 cas importés ont été recensés et aucun cas de transmission locale.
Mais si le ministère est en état d’alerte maximale, c’est que les risques d’une épidémie existent bel et bien à Maurice.
L’une des raisons est la présence dans le pays du moustique Aedes albopictus, vecteur de la dengue, du chikungunya et du zika.
Une autre raison est que la malaria est endémique dans plusieurs pays de la région. Sans compter que l’Inde, où il y a des cas de chikungunya et de dengue, représente une destination très appréciée des Maurice. Et en plus, une partie de la main d’œuvre provient de ce pays. Enfin, il y a le nombre d’arrivées à Maurice.
Tout cela fait que nous avons chaque année des cas importés de chikungunya, de dengue et de malaria. Et dans certains cas, il y a des transmissions locales.
Pour ces trois dernières années, concernant le chikungunya, le pays a recensé 0 cas en 2015, 7 cas en 2016 et 3 cas en 2017. Il s’agit de cas importés.
Concernant la malaria, nous avons eu 32 cas en 2015, 25 cas en 2016 et 28 cas en 2017. Il s’agit de cas importés. Heureusement, le pays a été épargné en ce qui concerne le zika.
Mais la dengue est un sujet beaucoup plus préoccupant. Car en 2015, il y a eu 8 cas importés mais 83 cas de transmission locale.
L’année suivante, le nombre de cas importés s’élevait à 20 et celui de transmission locale à 6. Enfin, en 2017, 11 cas importés ont été recensés et aucun cas de transmission locale.
