Les meurtriers de Manan Fakoo courent toujours, à en croire la justice. Swaste Rao Fakoo plus connu comme Manan, âgé de 56 ans, a été victime d'une attaque criminelle à bord de sa voiture, à quelques mètres de son domicile à Beau-Bassin, le 20 janvier 2021.
"Il y aura des arrestations dans cette affaire et elles ne vont pas tarder" avait prévenu l'ancien commissaire de police Khemraj Servansingh. Sauf qu'à vouloir faire trop vite, il y a eu des arrestations à ce jour, où un an après ils sont tous quasiment sortis de prison, des armes qui datent de Mathusalem retrouvées miraculeusement dans une zone marécageuse et fait troublant voir accablant, l'arrestation des policiers à la station de Beau-Bassin pour non-assistance à personne en danger. Il leur est reprochés de ne pas avoir porté assistance à Manan Fakoo quand celui-ci s’est présenté au poste de police après avoir été victime d'une attaque criminelle.
Si la police se donner la peine de vérifier les caméras de surveillance le soir du meurtre, de toute évidence ces suspects auraient été blanchis. Mais il est plus simple de faire croire dans l'opinion publique que la police a le contrôle dans le pays. Ce mardi 21 septembre, Muhammad Umar Ajam Beeharry a retrouvé la liberté conditionnelle après un an de détention. Cela, après s’être acquitté d’une caution de Rs 150 000 et signé une reconnaissance de dette de Rs 1 million.
"Il y aura des arrestations dans cette affaire et elles ne vont pas tarder" avait prévenu l'ancien commissaire de police Khemraj Servansingh. Sauf qu'à vouloir faire trop vite, il y a eu des arrestations à ce jour, où un an après ils sont tous quasiment sortis de prison, des armes qui datent de Mathusalem retrouvées miraculeusement dans une zone marécageuse et fait troublant voir accablant, l'arrestation des policiers à la station de Beau-Bassin pour non-assistance à personne en danger. Il leur est reprochés de ne pas avoir porté assistance à Manan Fakoo quand celui-ci s’est présenté au poste de police après avoir été victime d'une attaque criminelle.
Si la police se donner la peine de vérifier les caméras de surveillance le soir du meurtre, de toute évidence ces suspects auraient été blanchis. Mais il est plus simple de faire croire dans l'opinion publique que la police a le contrôle dans le pays. Ce mardi 21 septembre, Muhammad Umar Ajam Beeharry a retrouvé la liberté conditionnelle après un an de détention. Cela, après s’être acquitté d’une caution de Rs 150 000 et signé une reconnaissance de dette de Rs 1 million.