Il se met de plus en plus de l’avant dans la bataille. Rajen Narsinghen prend de la place et du volume dans le combat. Il devient plus volubile aussi.
Hier, devant le bureau de Steven Obeegadoo, où il avait accompagné quelques tamouls, venus manifester contre le no 2 du gouvernement pour l’utilisation malheureuse du terme « galimatias » et aussi pour réclamer la restitution du terrain initialement alloué pour la construction du Centre culturel tamoul, il a livré un cours de droit aux journalistes et ceux présents.
Il a annoncé qu’une action en justice pour « breach of contrat » pourrait être déposée prochainement. Il a évoqué le droit civil pour dire que le gouvernement a commis une grave infraction en reprenant le terrain. Il a même précisé qu’un panel d'avocats se penche sur les actions légales possibles. Mais Rajen Narsinghen n’est pas si bête. Si jusqu’ici aucune action en justice n’a été initiée, c’est parce que le board du Mauritius Tamil Cultural Centre Trust a déjà accepté la reprise du terrain. Mais là où il a raison, c’est lorsqu’il soutient que cette affaire sera une des thématiques de la prochaine campagne électorale. « Après la mafia des courses, celle de la drogue, voilà celle de ceux qui veulent s’accaparer des terres. Nous attendons le gouvernement au pied du mur, soit la veille des élections », a-t-il déclaré.
Hier, devant le bureau de Steven Obeegadoo, où il avait accompagné quelques tamouls, venus manifester contre le no 2 du gouvernement pour l’utilisation malheureuse du terme « galimatias » et aussi pour réclamer la restitution du terrain initialement alloué pour la construction du Centre culturel tamoul, il a livré un cours de droit aux journalistes et ceux présents.
Il a annoncé qu’une action en justice pour « breach of contrat » pourrait être déposée prochainement. Il a évoqué le droit civil pour dire que le gouvernement a commis une grave infraction en reprenant le terrain. Il a même précisé qu’un panel d'avocats se penche sur les actions légales possibles. Mais Rajen Narsinghen n’est pas si bête. Si jusqu’ici aucune action en justice n’a été initiée, c’est parce que le board du Mauritius Tamil Cultural Centre Trust a déjà accepté la reprise du terrain. Mais là où il a raison, c’est lorsqu’il soutient que cette affaire sera une des thématiques de la prochaine campagne électorale. « Après la mafia des courses, celle de la drogue, voilà celle de ceux qui veulent s’accaparer des terres. Nous attendons le gouvernement au pied du mur, soit la veille des élections », a-t-il déclaré.
