Le ministère de l’Agro-industrie et de la Sécurité alimentaire a émis un communiqué hier. Cela, à la suite des allégations et révélations concernant des terrains utilisés par Jean-Hubert Célerine, alias Franklin.
Le communiqué souligne que Franklin « n’est pas et n’a jamais été détenteur d’un bail quelconque sur les terres de l’Etat tombant sous la tutelle des services forestiers du ministère ». Très bel argument mais jamais il n’a été dit que Franklin a obtenu un bail. Le communiqué souligne aussi que les articles de presse font état de la progression quotidienne de l’enquête de l’ICAC, y compris le volet portant sur les prête-noms et les liens de ce réseau allégué de blanchiment de fonds.
Il précise que l’Icac n’a toutefois pas communiqué officiellement sur le déroulement de son enquête. Ce qui fait, selon le ministère, « que les insinuations ne sont pas justifiées ». C’est sur la base de ce constant que le ministère conseille « de laisser l’enquête suivre son cours, selon les dispositions de la loi, sans ingérence médiatique ou politique pouvant porter préjudice à l’enquête ou à un éventuel procès en justice ». Enfin, le ministère rappelle que toute occupation et activité illégale, contraires aux conditions attachées à un terrain loué à bail, seront sanctionnées. En tout cas, Maneesh Gobin nous fait prendre des vessies pour des lanternes, avec son service de presse officiel comme officieux.
Le communiqué souligne que Franklin « n’est pas et n’a jamais été détenteur d’un bail quelconque sur les terres de l’Etat tombant sous la tutelle des services forestiers du ministère ». Très bel argument mais jamais il n’a été dit que Franklin a obtenu un bail. Le communiqué souligne aussi que les articles de presse font état de la progression quotidienne de l’enquête de l’ICAC, y compris le volet portant sur les prête-noms et les liens de ce réseau allégué de blanchiment de fonds.
Il précise que l’Icac n’a toutefois pas communiqué officiellement sur le déroulement de son enquête. Ce qui fait, selon le ministère, « que les insinuations ne sont pas justifiées ». C’est sur la base de ce constant que le ministère conseille « de laisser l’enquête suivre son cours, selon les dispositions de la loi, sans ingérence médiatique ou politique pouvant porter préjudice à l’enquête ou à un éventuel procès en justice ». Enfin, le ministère rappelle que toute occupation et activité illégale, contraires aux conditions attachées à un terrain loué à bail, seront sanctionnées. En tout cas, Maneesh Gobin nous fait prendre des vessies pour des lanternes, avec son service de presse officiel comme officieux.