Tel un tigre, Devarajen Kanaksabee a sorti les griffes. Les crocs aussi ! Il est requinqué le président du Tamil Council. Il peut compter sur le soutien, de poids, de Rajen Narsinghen et d’autres personnalités en quête d’un ticket.
Ainsi, concernant le lopin de terre au Réduit Triangle sur lequel devait être construit le futur Centre culturel tamoul, le Tamil Council va se battre comme un tigre… tamoul. Même si, dans les faits, c’est le Mauritius Tamil Cultural Centre Trust qui est propriétaire du terrain.
Rappelons que pour sauver le terrain au Réduit Triangle, c’est le Tamil Council qui s’est battu comme un beau diable. L’association de Devarajen Kanaksabee a été jusqu’à faire nettoyer le terrain. Sauf que le Mauritius Tamil Cultural Centre Trust ne semble pas trop se soucier du fait que le gouvernement veuille reprendre le terrain et octroyer un autre à La Vigie en échange. Cette fois, le Mauritius Tamil Council a fait servir une mise en demeure au ministre des Arts et du Patrimoine culturel, Avinash Teeluck, ainsi qu’au président du Mauritius Tamil Cultural Centre Trust, le Dr Adi Sankara Peruman. Mais que pourra-t-il faire d’autre ? Certes, Rajen Narsinghen peut utiliser son éloquence, allant jusqu’à parler de génocide à propos d’un terrain repris car non-développé. Preuve qu’il a le sens de l’exagération, l’ami Narsinghen.
Ainsi, concernant le lopin de terre au Réduit Triangle sur lequel devait être construit le futur Centre culturel tamoul, le Tamil Council va se battre comme un tigre… tamoul. Même si, dans les faits, c’est le Mauritius Tamil Cultural Centre Trust qui est propriétaire du terrain.
Rappelons que pour sauver le terrain au Réduit Triangle, c’est le Tamil Council qui s’est battu comme un beau diable. L’association de Devarajen Kanaksabee a été jusqu’à faire nettoyer le terrain. Sauf que le Mauritius Tamil Cultural Centre Trust ne semble pas trop se soucier du fait que le gouvernement veuille reprendre le terrain et octroyer un autre à La Vigie en échange. Cette fois, le Mauritius Tamil Council a fait servir une mise en demeure au ministre des Arts et du Patrimoine culturel, Avinash Teeluck, ainsi qu’au président du Mauritius Tamil Cultural Centre Trust, le Dr Adi Sankara Peruman. Mais que pourra-t-il faire d’autre ? Certes, Rajen Narsinghen peut utiliser son éloquence, allant jusqu’à parler de génocide à propos d’un terrain repris car non-développé. Preuve qu’il a le sens de l’exagération, l’ami Narsinghen.