On commence par Boolell ou par Woochit ? Allons-y pour le député du no 5. Ranjiv Woochit, député du PTr, réclame du gouvernement une enquête sur les entreprises qui ont obtenu l’aide du gouvernement durant la pandémie mais ont tout de même procédé à des licenciements.
Il a lancé un appel au ministre des Finances et à celui du Travail. C’était lors d’une conférence de presse vendredi après-midi. Il a insisté que l’octroi de cette aide gouvernement visait justement à préserver l’emploi et non à inciter les employés à prendre une retraite volontaire. Ranjiv Woochit a aussi parlé de la hausse des prix. Il a notamment évoqué le ciment, dont le prix de certains types a baissé. « Mais ce ne sont pas les types les plus utilisés dans la construction. Donc, cela ne sert à rien », a-t-il déclaré.
Arvin Boolell, chef de file du PTr au Parlement, s’est attardé sur les « Pandora Papers ». Il déplore l’absence de commentaire du Premier ministre et surtout du ministre des Services financiers. Même s’il faut souligner que Mahen Seeruttun a commenté le sujet dans deux médias. Selon Arvin Boolell, le gouvernement a opté pour l'opacité et le silence. Ce qui est dangereux, surtout qu’une délégation de la Financial Action Task Force vient de quitter Maurice.
Il a lancé un appel au ministre des Finances et à celui du Travail. C’était lors d’une conférence de presse vendredi après-midi. Il a insisté que l’octroi de cette aide gouvernement visait justement à préserver l’emploi et non à inciter les employés à prendre une retraite volontaire. Ranjiv Woochit a aussi parlé de la hausse des prix. Il a notamment évoqué le ciment, dont le prix de certains types a baissé. « Mais ce ne sont pas les types les plus utilisés dans la construction. Donc, cela ne sert à rien », a-t-il déclaré.
Arvin Boolell, chef de file du PTr au Parlement, s’est attardé sur les « Pandora Papers ». Il déplore l’absence de commentaire du Premier ministre et surtout du ministre des Services financiers. Même s’il faut souligner que Mahen Seeruttun a commenté le sujet dans deux médias. Selon Arvin Boolell, le gouvernement a opté pour l'opacité et le silence. Ce qui est dangereux, surtout qu’une délégation de la Financial Action Task Force vient de quitter Maurice.
