
Les signes ne trompent pas. Il y a un climat de ras-le-bol général qui règne dans le pays. La chaine nationale et quelques plateformes ou radios privées ne suffisent plus à la propagande gouvernementale.
Certaines pages sur les réseaux sociaux gérées et financées par les proches du pouvoir avec la complicité d'anciens journalistes, portent atteinte à toutes les personnes n'ayant pas fait génuflexion devant le Roi Soleil. De graves allégations avec des photomontages sont faites contre le DPP Me Rashid Ahmine, l'activiste Bruneau Laurette, des avocats mais aussi des journalistes circulent sur des groupes Whatsapp. Si concernant les publications, l'auteur est semble-t-il identifié, sauf pour la police. Concernant les vidéos montages, de l'avis de tous, ce n'est nullement "l'oeuvre artistique" d'un amateur.
Dans la foulée, à noter, le silence très troublant du ministre Bobby Hurreeram, pourtant toujours prompt à féliciter «une très belle créativité» réalisée par des «patriotes» sur Facebook, quand il s'agit de dénigrer les opposants politiques. Silence également des pom-pom girls du gouvernement. Ils/elles sont plus habilités à défendre l'Héritier de la dynastie du clan Jugnauth. Mais il nous revient que le mot d'ordre est de laisser faire les professionnels !
Le drame, c’est que ces bourriques ne réalisent pas le tort immense qu’ils sont en train de faire au pays. Et c’est là que le bât blesse ! Mais ils ne font que suivre l’exemple de leur leader. Un Premier ministre qui affirme, juste pour soi-disant attaquer ses adversaires politiques, que la mafia a infiltré des institutions est un irresponsable. Un homme dangereux.
Au lieu d'apaiser les relations d'apaiser les relations, Pravind Jugnauth attise des réactions encore plus virulentes.
Rappelons à toutes fins utiles, que dans le même esprit, avant le scrutin du 10 décembre 2014, l’alliance Lepep utilisait "impunément" Facebook pour "annoyance" en dénigrant les adversaires politiques. Le clip Viré Mam avait misé sur les photos, dessins de presse, éditoriaux et autres articles d’opinion qui ont atterri sur la Toile, avec plusieurs centaines de milliers de vues. Le clip «Vire Mam» avait d'ailleurs été élu disque de l’année au hit-parade. Sachin Jootun, alias Vikram Jootun, l’homme chef d’orchestre et auteur du clip avec son équipe était le photographe et vidéographe attitré du Mouvement socialiste militant (MSM). Et il n'en est pas peu fier d'avoir pu gravir les échelons depuis ! L'homme aux cheveux couleur orange a été nommé directeur de la Mauritius Film Development Corporation (MFDC). Les critères de sélection du photographe, il le doit à un seul succès : le clip «Vire Mam».
Des noms circulent. Fait troublant, les récents clips diffamatoires ont des similitudes et de "paralell thinking" avec le clip Vire Mam. Bien qu'on parle aussi d'un conseiller "bénévole" du Premier ministre; patron d'une agence de publicité, qui donnerait "son coup de pouce", et qui aurait été également mêlé à des messages à caractère racistes et communales dans un groupe Whatsapp...
Le patron de la MBC, Anooj Ramsurrun est très critiqué pour son rôle supposé dans la fabrication des clips et vidéos contenant des attaques contre le DPP, l’ancien chef juge Balancy, la Senior Magistrate de la cour de Moka et Shakeel Mohamed, entre autres. Du moins, certains ont évoqué son nom. En plein Journal télévisé mercredi soir, Anooj Ramsurrun a fait lire un communiqué à la présentatrice indiquant que la MBC n’est nullement associée aux vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Or, la station n’a pas été mentionnée. C’est son directeur général qui l’a été. Nuance clownesque !
Certaines pages sur les réseaux sociaux gérées et financées par les proches du pouvoir avec la complicité d'anciens journalistes, portent atteinte à toutes les personnes n'ayant pas fait génuflexion devant le Roi Soleil. De graves allégations avec des photomontages sont faites contre le DPP Me Rashid Ahmine, l'activiste Bruneau Laurette, des avocats mais aussi des journalistes circulent sur des groupes Whatsapp. Si concernant les publications, l'auteur est semble-t-il identifié, sauf pour la police. Concernant les vidéos montages, de l'avis de tous, ce n'est nullement "l'oeuvre artistique" d'un amateur.
Dans la foulée, à noter, le silence très troublant du ministre Bobby Hurreeram, pourtant toujours prompt à féliciter «une très belle créativité» réalisée par des «patriotes» sur Facebook, quand il s'agit de dénigrer les opposants politiques. Silence également des pom-pom girls du gouvernement. Ils/elles sont plus habilités à défendre l'Héritier de la dynastie du clan Jugnauth. Mais il nous revient que le mot d'ordre est de laisser faire les professionnels !
Le drame, c’est que ces bourriques ne réalisent pas le tort immense qu’ils sont en train de faire au pays. Et c’est là que le bât blesse ! Mais ils ne font que suivre l’exemple de leur leader. Un Premier ministre qui affirme, juste pour soi-disant attaquer ses adversaires politiques, que la mafia a infiltré des institutions est un irresponsable. Un homme dangereux.
Au lieu d'apaiser les relations d'apaiser les relations, Pravind Jugnauth attise des réactions encore plus virulentes.
Rappelons à toutes fins utiles, que dans le même esprit, avant le scrutin du 10 décembre 2014, l’alliance Lepep utilisait "impunément" Facebook pour "annoyance" en dénigrant les adversaires politiques. Le clip Viré Mam avait misé sur les photos, dessins de presse, éditoriaux et autres articles d’opinion qui ont atterri sur la Toile, avec plusieurs centaines de milliers de vues. Le clip «Vire Mam» avait d'ailleurs été élu disque de l’année au hit-parade. Sachin Jootun, alias Vikram Jootun, l’homme chef d’orchestre et auteur du clip avec son équipe était le photographe et vidéographe attitré du Mouvement socialiste militant (MSM). Et il n'en est pas peu fier d'avoir pu gravir les échelons depuis ! L'homme aux cheveux couleur orange a été nommé directeur de la Mauritius Film Development Corporation (MFDC). Les critères de sélection du photographe, il le doit à un seul succès : le clip «Vire Mam».
Des noms circulent. Fait troublant, les récents clips diffamatoires ont des similitudes et de "paralell thinking" avec le clip Vire Mam. Bien qu'on parle aussi d'un conseiller "bénévole" du Premier ministre; patron d'une agence de publicité, qui donnerait "son coup de pouce", et qui aurait été également mêlé à des messages à caractère racistes et communales dans un groupe Whatsapp...
Le patron de la MBC, Anooj Ramsurrun est très critiqué pour son rôle supposé dans la fabrication des clips et vidéos contenant des attaques contre le DPP, l’ancien chef juge Balancy, la Senior Magistrate de la cour de Moka et Shakeel Mohamed, entre autres. Du moins, certains ont évoqué son nom. En plein Journal télévisé mercredi soir, Anooj Ramsurrun a fait lire un communiqué à la présentatrice indiquant que la MBC n’est nullement associée aux vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Or, la station n’a pas été mentionnée. C’est son directeur général qui l’a été. Nuance clownesque !