C’est un projet qui fait son chemin. Bientôt pourrait naître un « passeport Covid », soit un passeport sanitaire numérique.
Son nom : Anticorps OK, soit AOK. Selon un article paru dans la presse suisse, c’est une idée de génie d’une entreprise de ce pays. Et apparemment, près de 170 aéroports dans le monde sont prêts à reconnaître ce passeport sanitaire numérique.
Beaucoup estime qu’il pourrait permettre de relancer les voyages d’affaires et les vols touristiques.
Le détenteur de ce passeport devrait avoir passé un test Covid-19, dont le résultat est négatif, pour avoir accès aux aéroports. Dans l’article, Maurice est cité comme exemple. Il est précisé que chaque pays prend les mesures qu’il estime nécessaire.
À Maurice, souligne l’auteur, une trentaine d’établissements, allant des guest houses aux hôtels cinq étoiles sont à vendre à prix cassés. Néanmoins, le journaliste pose la question suivante : « Qui voudrait encore se rendre dans cette île à 12 000 kilomètres de l’Europe, qui, après avoir totalement fermé ses frontières, les a rouvertes en octobre mais en imposant quatorze jours de quarantaine stricte à tout visiteur ? »
Pour le journaliste, mais aussi les directeurs de l’entreprise qui est à l’origine du « passeport Covid », ce document est du pain béni pour les pays qui dépendent du tourisme. Mais justement, le fait que ce soit une initiative privée qui pose problème. Maurice, par exemple, acceptera le passeport Covid et abolira la quarantaine obligatoire ? Pas sûr !
Son nom : Anticorps OK, soit AOK. Selon un article paru dans la presse suisse, c’est une idée de génie d’une entreprise de ce pays. Et apparemment, près de 170 aéroports dans le monde sont prêts à reconnaître ce passeport sanitaire numérique.
Beaucoup estime qu’il pourrait permettre de relancer les voyages d’affaires et les vols touristiques.
Le détenteur de ce passeport devrait avoir passé un test Covid-19, dont le résultat est négatif, pour avoir accès aux aéroports. Dans l’article, Maurice est cité comme exemple. Il est précisé que chaque pays prend les mesures qu’il estime nécessaire.
À Maurice, souligne l’auteur, une trentaine d’établissements, allant des guest houses aux hôtels cinq étoiles sont à vendre à prix cassés. Néanmoins, le journaliste pose la question suivante : « Qui voudrait encore se rendre dans cette île à 12 000 kilomètres de l’Europe, qui, après avoir totalement fermé ses frontières, les a rouvertes en octobre mais en imposant quatorze jours de quarantaine stricte à tout visiteur ? »
Pour le journaliste, mais aussi les directeurs de l’entreprise qui est à l’origine du « passeport Covid », ce document est du pain béni pour les pays qui dépendent du tourisme. Mais justement, le fait que ce soit une initiative privée qui pose problème. Maurice, par exemple, acceptera le passeport Covid et abolira la quarantaine obligatoire ? Pas sûr !
