L’organisme n’a pas mentionné le nom de la page Facebook. Mais il a bel et bien évoqué les attaques contre le DPP, l’ancien chef juge Balancy, la magistrate de Moka et certains avocats de Bruneau Laurette.
Le Conseil des religions affirme, dans un communiqué émis mercredi après-midi, qu’il regrette les attaques faites contre des membres de la profession légale sur les réseaux sociaux. Le communiqué reprend les propos de la présidente du Bar Council, Priscilla Balgobin-Bhoyrul, qui a déclaré qu’il faut éduquer le public sur le « fonctionnement du judiciaire afin qu’il n’y ait pas de confusion ».
Pour le Conseil des religions, les accusations gratuites contre les personnes qui ont de graves responsabilités sur le plan national ne sont pas faites pour consolider la santé de notre démocratie. L’organisme mentionne aussi la controverse par rapport à la déclaration du Commissaire de police à la télévision par rapport à la décision du DPP de ne pas faire appel contre le jugement de la magistrate du tribunal de libérer Bruneau Laurette sous caution. « En tant que religieux, nous ne sommes pas habilités à commenter ce problème dans sa dimension légale. Par contre, nous sommes concernés par les remous que cette affaire pourrait déclencher sur le plan de l’harmonie sociale », souligne le communiqué signé du père Philippe Goupille, le président du Conseil des religions.
Le Conseil des religions affirme, dans un communiqué émis mercredi après-midi, qu’il regrette les attaques faites contre des membres de la profession légale sur les réseaux sociaux. Le communiqué reprend les propos de la présidente du Bar Council, Priscilla Balgobin-Bhoyrul, qui a déclaré qu’il faut éduquer le public sur le « fonctionnement du judiciaire afin qu’il n’y ait pas de confusion ».
Pour le Conseil des religions, les accusations gratuites contre les personnes qui ont de graves responsabilités sur le plan national ne sont pas faites pour consolider la santé de notre démocratie. L’organisme mentionne aussi la controverse par rapport à la déclaration du Commissaire de police à la télévision par rapport à la décision du DPP de ne pas faire appel contre le jugement de la magistrate du tribunal de libérer Bruneau Laurette sous caution. « En tant que religieux, nous ne sommes pas habilités à commenter ce problème dans sa dimension légale. Par contre, nous sommes concernés par les remous que cette affaire pourrait déclencher sur le plan de l’harmonie sociale », souligne le communiqué signé du père Philippe Goupille, le président du Conseil des religions.
