L’avocat de Bruneau Laurette a contesté les deux motions du Commissaire de police, hier en cour suprême.
Me Shakeel Mohamed estime d’abord que la deuxième application, qui concerne la contestation de la libération de son client, est un manque de respect envers le tribunal. « Avant même d’avoir la permission pour une extension du délai, le commissaire de police a logé la deuxième application. C’est un manque de respect. La cheffe juge est du même avis », a-t-il déclaré.
Selon Shakeel Mohamed, le commissaire de police n’a pas de locus standi. « Il n’a pas le droit le droit de venir avec une telle démarche », a-t-il ajouté. Il a précisé que c’est un abus de procédure et que le commissaire de police n’a pas donné de raisons valables. Pour Shakeel Mohamed, c’est la première fois que le commissaire de police a logé une telle demande. « Il est, en plus, allé jusqu’à dire que le DPP a agi de manière en infraction avec la Constitution », a-t-il souligné. Il a aussi évoqué « l’hystérie » parmi certains dirigeants du pays qui, « bizarrement » selon lui, tiennent le même langage. I
l s’est aussi réjoui du fait qu’il a la possibilité de plaider une affaire dans laquelle la cour sera appelée à établir une frontière entre les pouvoirs du DPP et ceux de la police. « Le CP ne doit pas venir squatter les pouvoirs du DPP. C’est bien que la cour se prononce une bonne pour toutes sur la frontière », a-t-il déclaré.
Me Shakeel Mohamed estime d’abord que la deuxième application, qui concerne la contestation de la libération de son client, est un manque de respect envers le tribunal. « Avant même d’avoir la permission pour une extension du délai, le commissaire de police a logé la deuxième application. C’est un manque de respect. La cheffe juge est du même avis », a-t-il déclaré.
Selon Shakeel Mohamed, le commissaire de police n’a pas de locus standi. « Il n’a pas le droit le droit de venir avec une telle démarche », a-t-il ajouté. Il a précisé que c’est un abus de procédure et que le commissaire de police n’a pas donné de raisons valables. Pour Shakeel Mohamed, c’est la première fois que le commissaire de police a logé une telle demande. « Il est, en plus, allé jusqu’à dire que le DPP a agi de manière en infraction avec la Constitution », a-t-il souligné. Il a aussi évoqué « l’hystérie » parmi certains dirigeants du pays qui, « bizarrement » selon lui, tiennent le même langage. I
l s’est aussi réjoui du fait qu’il a la possibilité de plaider une affaire dans laquelle la cour sera appelée à établir une frontière entre les pouvoirs du DPP et ceux de la police. « Le CP ne doit pas venir squatter les pouvoirs du DPP. C’est bien que la cour se prononce une bonne pour toutes sur la frontière », a-t-il déclaré.