Rappelons que Donat, un ingénieur, dirige le CEB depuis août 2020, soit peu après que Joe Lesjongard se soit vu confier le ministère des Services publics. Joe Lesjongard aussi est ingénieur de formation. Les deux ont certains points communs, selon ceux qui les connaissent, notamment un brin d’arrogance. Jean Donat serait remplacé par un autre cadre de l’organisme qui serait, d’une certaine façon, promu.
Beaucoup disent que Donat a eu tous les malheurs du monde sur les bras. Il a dû affronter le cas Terragen. C’est lui aussi qui a dû boucler le dossier pour obtenir que le gouvernement accepte une hausse des tarifs d’électricité. Cela, en raison du fait que les réserves du CEB ont été utilisées par le gouvernement. Elles sont passées d’un surplus de Rs 7 milliards à un déficit de Rs 3 milliards.
Rappelons que le gouvernement s’est dessaisi du dossier. Du moins, il a passé la patate chaude à un organisme qui vient d’entrer en opération, soit l’Utility Regulatory Authority. C’est ce régulateur qui, en théorie, aura le dernier mot sur une hausse du tarif d’électricité. C’est-à-dire que le gouvernement n’aura rien à voir…officiellement. Mais un problème se pose déjà. Le CEB tarde à soumettre des informations supplémentaires réclamées par le régulateur. Ce qui fait que les recommandations ne peuvent être envoyées au Conseil des ministres. L’URA a sollicité le CEB à maintes reprises. Mais rien n’y a fait. Est-ce que toute cette histoire pourrait être à la base du départ prochain d’Alain Donat ? La question se pose.
Beaucoup disent que Donat a eu tous les malheurs du monde sur les bras. Il a dû affronter le cas Terragen. C’est lui aussi qui a dû boucler le dossier pour obtenir que le gouvernement accepte une hausse des tarifs d’électricité. Cela, en raison du fait que les réserves du CEB ont été utilisées par le gouvernement. Elles sont passées d’un surplus de Rs 7 milliards à un déficit de Rs 3 milliards.
Rappelons que le gouvernement s’est dessaisi du dossier. Du moins, il a passé la patate chaude à un organisme qui vient d’entrer en opération, soit l’Utility Regulatory Authority. C’est ce régulateur qui, en théorie, aura le dernier mot sur une hausse du tarif d’électricité. C’est-à-dire que le gouvernement n’aura rien à voir…officiellement. Mais un problème se pose déjà. Le CEB tarde à soumettre des informations supplémentaires réclamées par le régulateur. Ce qui fait que les recommandations ne peuvent être envoyées au Conseil des ministres. L’URA a sollicité le CEB à maintes reprises. Mais rien n’y a fait. Est-ce que toute cette histoire pourrait être à la base du départ prochain d’Alain Donat ? La question se pose.
