Face à la presse, Shakeel Mohamed, l’un des avocats de Bruneau Laurette, affirme que ce dernier a fait de « graves allégations » contre la Special Striking Team de la police samedi, devant la Bail and Remand Court (BRC) de Port-Louis.
« Il a fait de graves allégations contre la Striking Team. Il a expliqué ce qui s'est passé. Il a déclaré qu'il peut identifier ceux qui ont pris son ADN sans son consentement. Il a dit que sa voiture était ouverte lorsqu'il a été appelée par les policiers à constater ce qui s'y trouvait. Il a aussi demandé que les membres de la Stricking Team ne fassent pas partie de l'équipe qui va enquêter sur cette affaire », a déclaré l'avocat.
Shakeel Mohamed a ajouté que la magistrate a demandé qu'une enquête soit instituée. Il a annoncé que l'affaire a été renvoyée au lundi 7 novembre devant le tribunal de Moka. Il a aussi évoqué les «similitudes alarmantes entre la drogue découverte hier et celle lors de la saisie à Pointe aux Canonniers ». Shakeel Mohamed a déclaré que son client insiste que la drogue et les armes, « qui datent de l'époque de Mahé de Labourdonnais » ne lui appartiennent pas.
Il a aussi demandé à la police de faire très attention et de ne pas laisser que cette affaire soit utilisée à des fins politiques. « Il ne faut pas non plus qu'elle soit utilisée pour diviser la population mauricienne en communautés », a-t-il affirmé. Et d'ajouter qu'il est convaincu de l'innocence de son client.
« Il a fait de graves allégations contre la Striking Team. Il a expliqué ce qui s'est passé. Il a déclaré qu'il peut identifier ceux qui ont pris son ADN sans son consentement. Il a dit que sa voiture était ouverte lorsqu'il a été appelée par les policiers à constater ce qui s'y trouvait. Il a aussi demandé que les membres de la Stricking Team ne fassent pas partie de l'équipe qui va enquêter sur cette affaire », a déclaré l'avocat.
Shakeel Mohamed a ajouté que la magistrate a demandé qu'une enquête soit instituée. Il a annoncé que l'affaire a été renvoyée au lundi 7 novembre devant le tribunal de Moka. Il a aussi évoqué les «similitudes alarmantes entre la drogue découverte hier et celle lors de la saisie à Pointe aux Canonniers ». Shakeel Mohamed a déclaré que son client insiste que la drogue et les armes, « qui datent de l'époque de Mahé de Labourdonnais » ne lui appartiennent pas.
Il a aussi demandé à la police de faire très attention et de ne pas laisser que cette affaire soit utilisée à des fins politiques. « Il ne faut pas non plus qu'elle soit utilisée pour diviser la population mauricienne en communautés », a-t-il affirmé. Et d'ajouter qu'il est convaincu de l'innocence de son client.