Sans bruit ni trompette, Dana Chengan entame son deuxième jour de grève de la faim sur le parvis de la cathédrale Saint-Louis, à Port-Louis.
Depuis hier, l’ancien président du Macoss réclame des mesures pour aider les catégories les plus vulnérables et, donc, les plus impactées par les augmentations de prix.
Pour Dana Chengan, 4 Mauriciens sur 10 ne mangent pas à leur faim. « Environ 40% de la population ne peut se nourrir correctement. Je sais de quoi je parle. Je suis proche des gens. J’ai toujours été le porte-voix des plus vulnérables. Il faut que les autorités entendent leurs doléances », a-t-il déclaré.
« C’est risquant, j’en suis conscient. Mais si je ne le fais pas, quelqu’un doit le faire. Le mouvement parlementaire ne fonctionne pas. Il faut une action extraparlementaire », a-t-il affirmé. Ce qu’il veut, a-t-il déclaré, c’est des mesures concrètes pour aider les gens à vivre décemment.
Depuis hier, l’ancien président du Macoss réclame des mesures pour aider les catégories les plus vulnérables et, donc, les plus impactées par les augmentations de prix.
Pour Dana Chengan, 4 Mauriciens sur 10 ne mangent pas à leur faim. « Environ 40% de la population ne peut se nourrir correctement. Je sais de quoi je parle. Je suis proche des gens. J’ai toujours été le porte-voix des plus vulnérables. Il faut que les autorités entendent leurs doléances », a-t-il déclaré.
« C’est risquant, j’en suis conscient. Mais si je ne le fais pas, quelqu’un doit le faire. Le mouvement parlementaire ne fonctionne pas. Il faut une action extraparlementaire », a-t-il affirmé. Ce qu’il veut, a-t-il déclaré, c’est des mesures concrètes pour aider les gens à vivre décemment.
