A trois jours de la rentrée parlementaire, les partis de l’opposition sont tous dans le bloc de départ prêts à surenchérir et n'hésitant pas à tacler les adversaires.
Lors de la conférence de presse du PMSD de ce samedi 13 octobre, Adrien Duval s'en est pris au gouvernement mais aussi aux mauves. Il n'a pas hésité à tacler le MMM qui ne cesse de clamer qu'il ira seul aux prochaines élections.
Selon Adrien Duval, si les mauves vont seuls aux élections, c’est parce qu’aucun autre parti ne veut s’allier avec lui. V'lan !
Plus lucide et un tantinet provocateur :
«Nou bizin compran ki ene sel parti pa pou kappa gagn elections. MMM pe dir zot pou ale tousel. La vérité se ki personne pa ler fer lallians avec ou» Selon lui, aucun parti ne veut négocier avec le MMM. Même l’électorat s’éloigne des mauves.
Et de conclure fier comme un coq que le PMSD, c’est une «zoli mamzel» et les autres partis aiment s’allier avec. Confirmant ainsi la saison des mamours.
Il ne fait aucun doute qu'avec toutes les miss Mauritius qui se sont ralliées à la basse cour bleue, ce ne sont pas les «zoli mamzel» qui manquent. A force de se faire courtiser, viendra le moment de conclure. Qui sera l'heureux gagnant ?
Lors de la conférence de presse du PMSD de ce samedi 13 octobre, Adrien Duval s'en est pris au gouvernement mais aussi aux mauves. Il n'a pas hésité à tacler le MMM qui ne cesse de clamer qu'il ira seul aux prochaines élections.
Selon Adrien Duval, si les mauves vont seuls aux élections, c’est parce qu’aucun autre parti ne veut s’allier avec lui. V'lan !
Plus lucide et un tantinet provocateur :
«Nou bizin compran ki ene sel parti pa pou kappa gagn elections. MMM pe dir zot pou ale tousel. La vérité se ki personne pa ler fer lallians avec ou» Selon lui, aucun parti ne veut négocier avec le MMM. Même l’électorat s’éloigne des mauves.
Et de conclure fier comme un coq que le PMSD, c’est une «zoli mamzel» et les autres partis aiment s’allier avec. Confirmant ainsi la saison des mamours.
Il ne fait aucun doute qu'avec toutes les miss Mauritius qui se sont ralliées à la basse cour bleue, ce ne sont pas les «zoli mamzel» qui manquent. A force de se faire courtiser, viendra le moment de conclure. Qui sera l'heureux gagnant ?
