« Frivole ». C’est ainsi que la cour suprême a qualifié la plainte de Siddick Chady dirigée contre la Mauritius Commercial Bank.
Le juge Iqbal Maghooa a ainsi stoppé le procès en réclamation lundi. Cette décision découle d’une demande de Me Patrice Doger de Spéville, leading counsel de la MCB, qui évoquait un abus de procédure. Il a obtenu gain de cause.
Rappelons que l’ancien ministre contestait la saisie de ses biens par la banque. Dans sa plainte, logée le 23 avril 2018, il réclamait des dommages de Rs 5 millions. Tout découle de prêts totalisant Rs 18,3 obtenus par Medical Centre (ABC) Ltd, appartenant à Siddick Chady, en 1993 auprès de la banque. La société n’a pu rembourser ses dettes. La MCB avait nommé un Receiver Manager le 26 juin 2004 pour procéder à la vente des équipements de la compagnie. Pour le juge Maghooa, l’action de Chady s’apparente à une tactique dilatoire afin d’éviter la vente à la barre des biens mis en garantie contre les prêts. Cela, alors que l’affaire a été réglée en 2006 et la vente ordonnée.
Le juge Iqbal Maghooa a ainsi stoppé le procès en réclamation lundi. Cette décision découle d’une demande de Me Patrice Doger de Spéville, leading counsel de la MCB, qui évoquait un abus de procédure. Il a obtenu gain de cause.
Rappelons que l’ancien ministre contestait la saisie de ses biens par la banque. Dans sa plainte, logée le 23 avril 2018, il réclamait des dommages de Rs 5 millions. Tout découle de prêts totalisant Rs 18,3 obtenus par Medical Centre (ABC) Ltd, appartenant à Siddick Chady, en 1993 auprès de la banque. La société n’a pu rembourser ses dettes. La MCB avait nommé un Receiver Manager le 26 juin 2004 pour procéder à la vente des équipements de la compagnie. Pour le juge Maghooa, l’action de Chady s’apparente à une tactique dilatoire afin d’éviter la vente à la barre des biens mis en garantie contre les prêts. Cela, alors que l’affaire a été réglée en 2006 et la vente ordonnée.
