L'argument est imparable ! La sentence maximale pour la charge retenue contre Nawsheen Beeharry est de 2 ans. Comme la prévenue est déjà en détention depuis près de 2 ans, il n'y a aucune raison pour objecter à sa remise en liberté sous caution. Vu la situation sous cet angle, il y a peu de chances que le bureau du DPP objecte à la libération de la maman du petit Ayaan Ramdoo.
Il s'agit de ce t enfant de deux ans, tué par son beau-père dans un accès de colère le 13 novembre 2020. Le meurtrier présumé a plaidé coupable. Mais la maman du petit, elle, veut obtenir la libération sous caution. La motion de Nawsheen Beeharry a été appelée devant la cour intermédiaire. Le bureau du DPP fera connaître sa position le 3 octobre 2022.
Rappelons que Nawsheen Beeharry est poursuivie pour avoir permis à un enfant d'être maltraité. Il s'agit d'un délit sous la "Child Protection Act". Le problème résulte de la charge retenue contre la maman. Car outre qu'elle n'a pas suffisamment protégé son enfant, il y a tout ce qu'elle a fait pour éviter que le meurtre ne soit découvert. Rappelons qu'Ayaan Ramdoo a été tué par son beau-père, Sheik Mohammed All Ashar Sobratee. Il avait déclaré l'avoir giflé et lui avoir donné des coups de pied après une crise de colère. Rappelons que le Dr Nesha Soobhug, qui avait émis le certificat de cause de décès, et le caporal Moontajally Emambocus, qui avait permis aux parents de récupérer le corps, sont aussi poursuivis dans le cadre de cette affaire. La date de leur procès sera fixée le 10 octobre. Rappelons que le procès est présidé par la magistrate Ida Dookhy-Rambarrun.
Il s'agit de ce t enfant de deux ans, tué par son beau-père dans un accès de colère le 13 novembre 2020. Le meurtrier présumé a plaidé coupable. Mais la maman du petit, elle, veut obtenir la libération sous caution. La motion de Nawsheen Beeharry a été appelée devant la cour intermédiaire. Le bureau du DPP fera connaître sa position le 3 octobre 2022.
Rappelons que Nawsheen Beeharry est poursuivie pour avoir permis à un enfant d'être maltraité. Il s'agit d'un délit sous la "Child Protection Act". Le problème résulte de la charge retenue contre la maman. Car outre qu'elle n'a pas suffisamment protégé son enfant, il y a tout ce qu'elle a fait pour éviter que le meurtre ne soit découvert. Rappelons qu'Ayaan Ramdoo a été tué par son beau-père, Sheik Mohammed All Ashar Sobratee. Il avait déclaré l'avoir giflé et lui avoir donné des coups de pied après une crise de colère. Rappelons que le Dr Nesha Soobhug, qui avait émis le certificat de cause de décès, et le caporal Moontajally Emambocus, qui avait permis aux parents de récupérer le corps, sont aussi poursuivis dans le cadre de cette affaire. La date de leur procès sera fixée le 10 octobre. Rappelons que le procès est présidé par la magistrate Ida Dookhy-Rambarrun.
