Nawsheen Beeharry a plaidé coupable. Elle était poursuivie pour ne pas avoir suffisamment protégé son enfant. Elle l’aurait exposé au caractère violent de son ancien concubin. Ce dernier a fini par causer la mort du petit en 2020.
Rappelons que cette affaire a fait couler beaucoup d’encre à l’époque. Elle met en lumière bien des lacunes dans tout le système. D’abord, on peut parler du destin des enfants lorsque leur mère se met en couple avec un autre homme. Il y a aussi la violence familiale, sans oublier les certificats de cause du décès et du respect des procédures concernant l’autopsie.
Rappelons que le petit Ayaan, 2 ans, est mort après avoir été battu par le nouvel homme de sa mère. Mais par la suite, le couple a tenté de maquiller le crime en décès naturel. Ils ont d’abord bénéficié de la complicité, bien malgré eux, de la doctoresse Dr Nesha Soobhug et du caporal Moontaj Emambocus. La première a émis un certificat de cause du décès de complaisance. Cela, sans même avoir examiné correctement le corps du petit. Le second, quant à lui, a aidé à ce que le couple récupère le corps sans que l’autopsie ne soit pratiquée. Sheik Mohammed All Ashar Sobratee, le meurtrier présumé, a été condamné à 39 ans de prison le 17 novembre 2022 en cour d’assises. La mère vient donc de plaider coupable. Elle réclame, précisons-le, un procès séparé. Car pour l’instant, la doctoresse et le caporal sont également poursuivis. Ils ont, eux, plaidé non coupable.
Rappelons que cette affaire a fait couler beaucoup d’encre à l’époque. Elle met en lumière bien des lacunes dans tout le système. D’abord, on peut parler du destin des enfants lorsque leur mère se met en couple avec un autre homme. Il y a aussi la violence familiale, sans oublier les certificats de cause du décès et du respect des procédures concernant l’autopsie.
Rappelons que le petit Ayaan, 2 ans, est mort après avoir été battu par le nouvel homme de sa mère. Mais par la suite, le couple a tenté de maquiller le crime en décès naturel. Ils ont d’abord bénéficié de la complicité, bien malgré eux, de la doctoresse Dr Nesha Soobhug et du caporal Moontaj Emambocus. La première a émis un certificat de cause du décès de complaisance. Cela, sans même avoir examiné correctement le corps du petit. Le second, quant à lui, a aidé à ce que le couple récupère le corps sans que l’autopsie ne soit pratiquée. Sheik Mohammed All Ashar Sobratee, le meurtrier présumé, a été condamné à 39 ans de prison le 17 novembre 2022 en cour d’assises. La mère vient donc de plaider coupable. Elle réclame, précisons-le, un procès séparé. Car pour l’instant, la doctoresse et le caporal sont également poursuivis. Ils ont, eux, plaidé non coupable.
