Les travaux de ce projet qui est contesté, vont démarrer au cours du premier trimestre de 2019. Coût du projet : Rs 3 milliards.
Ils concerneront la création d’un vaste Wetland sur une zone d’environ 20 arpents appartenant à New Mauritius Hotels. La première étape d’un développement intégré sur un terrain de 375 arpents que possède le groupe.
Ce n’est qu’une fois l’aménagement de ce nouveau wetland complété que débuteront les travaux relatifs à l’hôtel. À savoir que la route d’accès au site, commanditée par Landscope et financée à hauteur de Rs 200 millions par NMH, est déjà en opération.
L'ouverture du Resort est prévue pour août 2020. Il devrait offrir 600 emplois directs et 2 000 emplois indirects.
Ce projet est contesté par Rezistans ek Alternativ qui argue que le terrain identifié pour la construction de cet hôtel est situé dans une zone sensible classé comme zone protégée et qui figure dans le top 5 des European Space Agency Wetlands et abritant une grande diversité de faune.
Kugan Parapen de Rezistans ek Alternativ intervenant sur une radio privé ce mardi affirme que cette affaire sera contestée devant le tribunal de l’environnement et que le ministre concerné devra prendre les responsabilités légales et politiques.
A noter que Maurice est signataire du traité de la Convention de Ramsar depuis le 30 septembre 2001. Officiellement, le pays possède trois sites inclus sur la liste de la Convention de Ramsar, à savoir le Park Marin de Blue Bay, les Wetlands de Pointe-d’Esny et le site de Rivulet à Terre-Rouge.
Toutefois, plusieurs autres zones humides sont répertoriées dans le pays et ont une importance écologique.
Les zones humides permettent de protéger la faune et la flore mais aussi à réguler la montée des eaux en cas de pluie torrentielle ou encore à contenir l’eau en période de sécheresse.
Les zones marécages alimentent également les nappes souterraines et participent à l’atténuation des changements climatiques.
Ils concerneront la création d’un vaste Wetland sur une zone d’environ 20 arpents appartenant à New Mauritius Hotels. La première étape d’un développement intégré sur un terrain de 375 arpents que possède le groupe.
Ce n’est qu’une fois l’aménagement de ce nouveau wetland complété que débuteront les travaux relatifs à l’hôtel. À savoir que la route d’accès au site, commanditée par Landscope et financée à hauteur de Rs 200 millions par NMH, est déjà en opération.
L'ouverture du Resort est prévue pour août 2020. Il devrait offrir 600 emplois directs et 2 000 emplois indirects.
Ce projet est contesté par Rezistans ek Alternativ qui argue que le terrain identifié pour la construction de cet hôtel est situé dans une zone sensible classé comme zone protégée et qui figure dans le top 5 des European Space Agency Wetlands et abritant une grande diversité de faune.
Kugan Parapen de Rezistans ek Alternativ intervenant sur une radio privé ce mardi affirme que cette affaire sera contestée devant le tribunal de l’environnement et que le ministre concerné devra prendre les responsabilités légales et politiques.
A noter que Maurice est signataire du traité de la Convention de Ramsar depuis le 30 septembre 2001. Officiellement, le pays possède trois sites inclus sur la liste de la Convention de Ramsar, à savoir le Park Marin de Blue Bay, les Wetlands de Pointe-d’Esny et le site de Rivulet à Terre-Rouge.
Toutefois, plusieurs autres zones humides sont répertoriées dans le pays et ont une importance écologique.
Les zones humides permettent de protéger la faune et la flore mais aussi à réguler la montée des eaux en cas de pluie torrentielle ou encore à contenir l’eau en période de sécheresse.
Les zones marécages alimentent également les nappes souterraines et participent à l’atténuation des changements climatiques.