Shakeel Mohamed a eu la très bonne ou mauvaise idée de procéder, humoristiquement à une collecte de fonds, dans le lunch room de l’Assemblée nationale. Cela, en vue de faire une blague sur l’argent que l’État doit payer dans l’affaire Betamax.
« Il a pris un panier et nous a demandé de contribuer. On a rigolé parce que nous avons le sens de l’humour. Il est ensuite passé sur la table des députés du MMM et du PMSD qui ont évidemment compris qu’il s’agissait d’une blague », affirme Patrick Assirvaden.
Shakeel Mohamed s’est ensuite approché de la table des élus de la majorité. « Contribuez à la caisse du gouvernement », plaisantait Shakeel Mohamed. Apparemment, le député Doolub Kavi, selon le travailliste Mahend Gungapersad, a joué le jeu. Mais le ministre Bobby Hurreeram, selon les députés travaillistes, est sorti de ses gonds. Il s’en est pris à Shakeel Mohamed.
Selon les députés travaillistes, il a enlevez sa veste et a voulu en venir aux mains. « Il a fallu l’intervention de la police pour le ramener à l’ordre. Il a fallu que la police les sorte du lunch room de l’Assemblée nationale », a ajouté Patrick Assirvaden. Il a insinué que le ministre Kailesh Jagutpal aurait tenu des propos condamnables et a eu un comportement déplorable tout comme le député MSM Ashley Ittoo et d'autres ministres . Patrick Assirvaden a soutenu que les élus en question ont dû être évacués du lunchroom.
Résultat : Shakeel Mohamed et Bobby Hurreeram ont tous deux consigné une déposition au poste de police de l’Assemblée nationale.
Rappelons que pour stimuler les muscles zygomatiques, on peut toujours compter sur le député travailliste Shakeel Mohamed, véritable trublion en politique, dont les imitations sont caustiques et légendaires. Notamment celle du ministre Jagutpal, devenue une scène culte !
Ce n'est décidément pas le grand amour entre Shakeel et Bobby
Rappelez-vous, le 14 juillet 2020, on a assisté à une prise de bec entre entre le Whip de l’opposition, Shakeel Mohamed et le ministre des Infrastructures publiques, Bobby Hurreeram, au sein de l'hémicycle. Evoquant la campagne dont il fait l'objet de la part des membres du gouvernement, Shakeel Mohamed a qualifié Bobby Hurreeram de « dirtiest political player ». En effet, ce dernier continue d'attiser la braise communale dans ces interventions et ceci à la moindre occasion en évoquant l'«Indian-bashing».
Piqué dans le vif, Bobby Hurreeram a soulevé un «point of order», puis a traité Shakeel Mohamed de «kapon». Ce qui a alors nécessité l’intervention du Speaker. Ce dernier a alors demandé au ministre des Infrastructures publiques de «withdraw» ce mot utilisé à l’encontre du Whip de l’opposition.
Pour rappel, le 23 juin 2020, le Speaker Sooroojdev Phokeer avait dû ramener à l’ordre après de vifs échanges entre le ministre des Infrastructures Publiques, Bobby Hurreeram, et le député du Parti Travailliste, Shakeel Mohamed. C’était lors du discours du Supplementary Appropriation Bill, du ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal.
Bobby Hurreeram a même quitté sa place dans l'hémicycle et a menacé Shakeel Mohamed. «Anou al CID». Mais le Speaker avait dit n’avoir pas entendu les propos de Bobby Hurreeram. Ce dernier a toutefois retiré ses propos par la suite.
La police est aveugle face aux provocations répétées du beau-frère de Bobby Hurreeram
« Il a pris un panier et nous a demandé de contribuer. On a rigolé parce que nous avons le sens de l’humour. Il est ensuite passé sur la table des députés du MMM et du PMSD qui ont évidemment compris qu’il s’agissait d’une blague », affirme Patrick Assirvaden.
Shakeel Mohamed s’est ensuite approché de la table des élus de la majorité. « Contribuez à la caisse du gouvernement », plaisantait Shakeel Mohamed. Apparemment, le député Doolub Kavi, selon le travailliste Mahend Gungapersad, a joué le jeu. Mais le ministre Bobby Hurreeram, selon les députés travaillistes, est sorti de ses gonds. Il s’en est pris à Shakeel Mohamed.
Selon les députés travaillistes, il a enlevez sa veste et a voulu en venir aux mains. « Il a fallu l’intervention de la police pour le ramener à l’ordre. Il a fallu que la police les sorte du lunch room de l’Assemblée nationale », a ajouté Patrick Assirvaden. Il a insinué que le ministre Kailesh Jagutpal aurait tenu des propos condamnables et a eu un comportement déplorable tout comme le député MSM Ashley Ittoo et d'autres ministres . Patrick Assirvaden a soutenu que les élus en question ont dû être évacués du lunchroom.
Résultat : Shakeel Mohamed et Bobby Hurreeram ont tous deux consigné une déposition au poste de police de l’Assemblée nationale.
Rappelons que pour stimuler les muscles zygomatiques, on peut toujours compter sur le député travailliste Shakeel Mohamed, véritable trublion en politique, dont les imitations sont caustiques et légendaires. Notamment celle du ministre Jagutpal, devenue une scène culte !
Ce n'est décidément pas le grand amour entre Shakeel et Bobby
Rappelez-vous, le 14 juillet 2020, on a assisté à une prise de bec entre entre le Whip de l’opposition, Shakeel Mohamed et le ministre des Infrastructures publiques, Bobby Hurreeram, au sein de l'hémicycle. Evoquant la campagne dont il fait l'objet de la part des membres du gouvernement, Shakeel Mohamed a qualifié Bobby Hurreeram de « dirtiest political player ». En effet, ce dernier continue d'attiser la braise communale dans ces interventions et ceci à la moindre occasion en évoquant l'«Indian-bashing».
Piqué dans le vif, Bobby Hurreeram a soulevé un «point of order», puis a traité Shakeel Mohamed de «kapon». Ce qui a alors nécessité l’intervention du Speaker. Ce dernier a alors demandé au ministre des Infrastructures publiques de «withdraw» ce mot utilisé à l’encontre du Whip de l’opposition.
Pour rappel, le 23 juin 2020, le Speaker Sooroojdev Phokeer avait dû ramener à l’ordre après de vifs échanges entre le ministre des Infrastructures Publiques, Bobby Hurreeram, et le député du Parti Travailliste, Shakeel Mohamed. C’était lors du discours du Supplementary Appropriation Bill, du ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal.
Bobby Hurreeram a même quitté sa place dans l'hémicycle et a menacé Shakeel Mohamed. «Anou al CID». Mais le Speaker avait dit n’avoir pas entendu les propos de Bobby Hurreeram. Ce dernier a toutefois retiré ses propos par la suite.
La police est aveugle face aux provocations répétées du beau-frère de Bobby Hurreeram
