La décision du gouvernement de baisser les marges sur les médicaments est restée en travers de la gorge des pharmaciens. Ils n’ont toujours pu avaler la pilule amère. Surtout qu’elle n’était pas enrobée de sucre pour faire passer le goût.
Ainsi, il y a quelques jours, les pharmaciens s’étaient réunis et avaient brandi la menace d’un go-slow. Sauf que jusqu’ici, ils n’ont pas mis leur menace à exécution. Il faut souligner que les pharmaciens n’ont pas l’habitude de manifester. Sans compter que le go-slow a un prix. Leurs clients n’auront certes pas de médicaments. Mais cela signifie un manque à gagner pour les pharmaciens. Et dans le contexte actuel, cela compte.
Les pharmaciens veulent mettre la pression sur le gouvernement. Mais reste qu’ils n’ont pas les moyens de le faire. Cela, et nous devons le rappeler, ils constituent un agneau sacrificiel commode pour le gouvernement qui veut à tout prix baisser les baisser les prix des médicaments qui à sacrifier quelques pharmaciens. Les pharmaciens insistent que plusieurs d’entre eux ne pourront survivre financièrement à cette décision. Mais pour l’instant, personne n’a encore mis la clé sous le paillasson. Donc, le gouvernement peut se permettre de faire la sourde oreille.
Ainsi, il y a quelques jours, les pharmaciens s’étaient réunis et avaient brandi la menace d’un go-slow. Sauf que jusqu’ici, ils n’ont pas mis leur menace à exécution. Il faut souligner que les pharmaciens n’ont pas l’habitude de manifester. Sans compter que le go-slow a un prix. Leurs clients n’auront certes pas de médicaments. Mais cela signifie un manque à gagner pour les pharmaciens. Et dans le contexte actuel, cela compte.
Les pharmaciens veulent mettre la pression sur le gouvernement. Mais reste qu’ils n’ont pas les moyens de le faire. Cela, et nous devons le rappeler, ils constituent un agneau sacrificiel commode pour le gouvernement qui veut à tout prix baisser les baisser les prix des médicaments qui à sacrifier quelques pharmaciens. Les pharmaciens insistent que plusieurs d’entre eux ne pourront survivre financièrement à cette décision. Mais pour l’instant, personne n’a encore mis la clé sous le paillasson. Donc, le gouvernement peut se permettre de faire la sourde oreille.