Il y avait presque un air de « Danser encore ». Version HK ou Calogero ? À vous de voir. Mais c’était l’activité du 1er-Mai, à notre avis, qui était la plus émouvante. D’abord, il y a eu les membres de la CTSP qui se sont mis à chanter « Travayer » de Désiré François. C’était bien ! C’était bien choisi !
Mais ensuite il y a eu la danse de Reeaz Chuttoo, Jane Ragoo et d’autres membres du syndicat. C'était tout simplement émouvant. Le discours de Reeaz Chuttoo aussi ! « La relève est assurée. Nous ne serons peut-être plus là demain mais les jeunes sont là », a-t-il déclaré. Jane Ragoo aussi a dit les mêmes paroles. Reeaz Chuttoo a aussi ajouté que la principale revendication de la CTSP est que les travailleurs ne soient plus traités « comme une marchandise ».
Pour lui, dans beaucoup de firmes, les employés sont « des prisonniers » en raison des caméras installées partout. « Le patron, de son canapé, peut surveiller tout ce qui se passe et vous appeler à tout moment », a-t-il déclaré. Il a aussi eu une pensée spéciale pour les travailleurs étrangers. « Ces derniers doivent obtenir justice. Aujourd’hui, ils sont la propriété absolue de leurs patrons », a-t-il affirmé, tout en soulignant qu’un travailleur étranger qui porte plainte ne sera plus au pays une fois l’affaire arrive devant les tribunaux. Il a aussi déclaré qu’il faut, aujourd’hui, un salaire minimum universel.
Mais ensuite il y a eu la danse de Reeaz Chuttoo, Jane Ragoo et d’autres membres du syndicat. C'était tout simplement émouvant. Le discours de Reeaz Chuttoo aussi ! « La relève est assurée. Nous ne serons peut-être plus là demain mais les jeunes sont là », a-t-il déclaré. Jane Ragoo aussi a dit les mêmes paroles. Reeaz Chuttoo a aussi ajouté que la principale revendication de la CTSP est que les travailleurs ne soient plus traités « comme une marchandise ».
Pour lui, dans beaucoup de firmes, les employés sont « des prisonniers » en raison des caméras installées partout. « Le patron, de son canapé, peut surveiller tout ce qui se passe et vous appeler à tout moment », a-t-il déclaré. Il a aussi eu une pensée spéciale pour les travailleurs étrangers. « Ces derniers doivent obtenir justice. Aujourd’hui, ils sont la propriété absolue de leurs patrons », a-t-il affirmé, tout en soulignant qu’un travailleur étranger qui porte plainte ne sera plus au pays une fois l’affaire arrive devant les tribunaux. Il a aussi déclaré qu’il faut, aujourd’hui, un salaire minimum universel.
