Pas de quoi fanfaronner. L'île Maurice était inscrite, depuis le 1er octobre 2020, sur la liste noire des pays suspectés de participer, indirectement, au blanchiment d'argent et au financement du terrorisme.
Cette sanction a mis en danger les services bancaires offshores, un secteur essentiel de l'économie mauricienne. Si le pays ne figure plus sur la liste du Groupe d'Action Financière (GAFI) des pays engagés dans le blanchiment d'argent et du financement du terrorisme depuis le 21 octobre, elle est enfin sortie de la liste noire mercredi soir.
Une décision communiquée lors d'une conférence de presse par Paolo Gentiloni. Ainsi, après délibérations, cinq pays ont été retirés de la liste noire : les Bahamas, le Botswana, le Ghana, l'Irak et Maurice. Une décision qui doit toutefois d'abord être soumise à l'approbation du Parlement européen et de son conseil avant d'être adoptée.
Cette sanction a mis en danger les services bancaires offshores, un secteur essentiel de l'économie mauricienne. Si le pays ne figure plus sur la liste du Groupe d'Action Financière (GAFI) des pays engagés dans le blanchiment d'argent et du financement du terrorisme depuis le 21 octobre, elle est enfin sortie de la liste noire mercredi soir.
Une décision communiquée lors d'une conférence de presse par Paolo Gentiloni. Ainsi, après délibérations, cinq pays ont été retirés de la liste noire : les Bahamas, le Botswana, le Ghana, l'Irak et Maurice. Une décision qui doit toutefois d'abord être soumise à l'approbation du Parlement européen et de son conseil avant d'être adoptée.