Nous n’avons rien de la Thaïlande... Mais, nous ne sommes pas totalement clean non plus ! C’est la conclusion à laquelle on peut arriver à la lecture du rapport de Mama Fatima Singhateh, Rapporteuse spéciale sur la vente et l’exploitation sexuelle des enfants.
Elle a remis son rapport au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Dans le chapitre concernant Maurice, Mama Fatima Singhateh affirme qu’il y a un manque de données par rapport à l’étendue et la prévalence des abus sexuels ainsi que de l’exploitation des enfants. C’est assez grave docteur !
La Rapporteuse spéciale affirme que cette situation est due à la nature clandestine de ces délits, mais aussi au manque de données sur le nombre de cas rapportés et les enquêtes et poursuites entamées. Mais plus grave encore ! Elle soutient que des cas ne sont pas rapportés alors qu’ils ont été signalés aux autorités... Et ce, par manque de prise de conscience, mais aussi en raison des barrières sociétales et religieuses. Tout cela fait qu’il est dificile, selon Mama Fatima Singhateh, d’avoir « une image juste de l’étendue et de la prévalence du phénomène à Maurice ». Maurice peut donc se targuer d’être un bon élève dans le domaine de la lutte contre les abus et l’exploitation sexuelle des enfants. La situation n’est pas aussi rose qu’elle n’y parait.
Elle a remis son rapport au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Dans le chapitre concernant Maurice, Mama Fatima Singhateh affirme qu’il y a un manque de données par rapport à l’étendue et la prévalence des abus sexuels ainsi que de l’exploitation des enfants. C’est assez grave docteur !
La Rapporteuse spéciale affirme que cette situation est due à la nature clandestine de ces délits, mais aussi au manque de données sur le nombre de cas rapportés et les enquêtes et poursuites entamées. Mais plus grave encore ! Elle soutient que des cas ne sont pas rapportés alors qu’ils ont été signalés aux autorités... Et ce, par manque de prise de conscience, mais aussi en raison des barrières sociétales et religieuses. Tout cela fait qu’il est dificile, selon Mama Fatima Singhateh, d’avoir « une image juste de l’étendue et de la prévalence du phénomène à Maurice ». Maurice peut donc se targuer d’être un bon élève dans le domaine de la lutte contre les abus et l’exploitation sexuelle des enfants. La situation n’est pas aussi rose qu’elle n’y parait.