C’est un peu comme l’épée de la justice ! Dans l’affaire du pot-de-vin allégué de Rs 3,5 millions, il y a un autre témoignage accablant. Outre la personne qui a révélé l’affaire à l’Icac, voilà qu’une deuxième personne, un des frères Etwaroo, est venue confirmer certaines allégations.
En effet, accompagné de son avocat, Yash Bhadain, l’homme en question a affirmé que plus de Rs 3 millions ont été versées en guise de pot-de-vin pour le renouvellement du terrain, situé à Grand Bassin, dont il est question dans l’affaire Franklin. Le bail du terrain était au nom de ce second protagoniste. Mais le gouvernement avait repris le terrain.
Les tentatives de le redonner aux frères Etwaroo se sont révélées vaines. Mais tout allait changer après les législatives de 2019. Un autre élu s’occupe du ministère concerné. Il est ouvert à toutes les options. Mais il réclame le paiement de Rs 4 millions pour faciliter les choses. Jusque-là, la somme de Rs 3,5 millions a été agréé et Rs Rs 3,2 millions payées. Mais Etwaroo a déclaré que le ministre en question a réclamé le paiement de Rs 300 000. Aujourd’hui, le sort du ministre repose entre les mains de l’Icac. Si la commission décide d’initier une enquête, il est cuit. Il devra démissionner. Mais la question est celle-ci : est-ce que l’Icac peut se permettre le luxe de dire qu’il n’y a pas de quoi initier une enquête ? Surtout avec tout ce que les politiciens de l’opposition savent. Les choses sérieuses commencent.
En effet, accompagné de son avocat, Yash Bhadain, l’homme en question a affirmé que plus de Rs 3 millions ont été versées en guise de pot-de-vin pour le renouvellement du terrain, situé à Grand Bassin, dont il est question dans l’affaire Franklin. Le bail du terrain était au nom de ce second protagoniste. Mais le gouvernement avait repris le terrain.
Les tentatives de le redonner aux frères Etwaroo se sont révélées vaines. Mais tout allait changer après les législatives de 2019. Un autre élu s’occupe du ministère concerné. Il est ouvert à toutes les options. Mais il réclame le paiement de Rs 4 millions pour faciliter les choses. Jusque-là, la somme de Rs 3,5 millions a été agréé et Rs Rs 3,2 millions payées. Mais Etwaroo a déclaré que le ministre en question a réclamé le paiement de Rs 300 000. Aujourd’hui, le sort du ministre repose entre les mains de l’Icac. Si la commission décide d’initier une enquête, il est cuit. Il devra démissionner. Mais la question est celle-ci : est-ce que l’Icac peut se permettre le luxe de dire qu’il n’y a pas de quoi initier une enquête ? Surtout avec tout ce que les politiciens de l’opposition savent. Les choses sérieuses commencent.