La bouffonnerie des princes et des puissants n'a pas de limite. S'il est vrai que selon l'adage « Ne crache pas dans la main qui te nourrit », la petite leçon de morale venant de la ministre de l'Education est gonflée !
Alors que l’État finance les études en espérant que les lauréats mettront à profit leurs compétences professionnelles dans leur pays natal. Il ne faut pas se faire d'illusion, la fuite des cerveaux est une réalité. D'où les appels du pied répétés de nos dirigeants. Si le pays connait un nouveau record aux examens du Higher School Certificate (HSC) pour l'année 2022, avec un taux de réussite de 92,25%, le mérite revient aux élèves, parents et corps enseignant.
Surfant sur cette vague de bonnes nouvelles, Leela Devi DookunLuchoomun, vice Première-ministre et ministre de l’Éducation revendique le sens de la reconnaissance des élèves pour contribuer au développement économique et social du pays. Cela fait pourtant plusieurs années que l’on sait que Maurice est le premier pays en Afrique et le 5ème pays au monde à souffrir à l'exode de talents. Ceci, malgré une obligation légale de rendre les années d’étude en échange d’une bourse, les étudiants à l’étranger ne se voient pas évoluer à Maurice et ne rentrent pas au pays. Pourquoi cette perception que l’herbe est plus verte ailleurs ? Tout simplement du fait que la corruption, le nivellement vers le bas, la perception d’une absence de méritocratie par les hommes politiques ont gangréné l'espoir d'un retour possible.
Si Maurice ressemble de plus en plus à Pravind’s Land, le secteur de l’éducation, pour sa part, semble de plus en plus contrôlé par les Dookun. Cela à la suite de la nomination du Dr Salem Saumtally à la présidence de la Higher Education Commission. Parenté par alliance à Leela Devi Dookun-Luchoomun, qui n’est autre que la ministre de tutelle. Les mauvaises langues soutiennent aussi que Preeaduth Chitamun, Pro-Chancellor et président du conseil d’administration du Conseil de l’Université de Maurice, est aussi un parent de Leela Devi Dookun-Luchoomun.
C’est sur ce même board que siège Asha Devi Dookun-Saumtally, l’épouse du Dr Salem Saumtally. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, ces mauvaises langues rappellent que Shiv Luchoomun, le directeur de la Private Secondary Education Authority, n’est autre que le mari de la ministre. Quelle famille ! Mais précisons qu’il s’agit que de mauvaises langues… Leela Devi Dookun-Luchoomun n’est pas du genre à accaparer un secteur. Évidemment que non !
Alors que l’État finance les études en espérant que les lauréats mettront à profit leurs compétences professionnelles dans leur pays natal. Il ne faut pas se faire d'illusion, la fuite des cerveaux est une réalité. D'où les appels du pied répétés de nos dirigeants. Si le pays connait un nouveau record aux examens du Higher School Certificate (HSC) pour l'année 2022, avec un taux de réussite de 92,25%, le mérite revient aux élèves, parents et corps enseignant.
Surfant sur cette vague de bonnes nouvelles, Leela Devi DookunLuchoomun, vice Première-ministre et ministre de l’Éducation revendique le sens de la reconnaissance des élèves pour contribuer au développement économique et social du pays. Cela fait pourtant plusieurs années que l’on sait que Maurice est le premier pays en Afrique et le 5ème pays au monde à souffrir à l'exode de talents. Ceci, malgré une obligation légale de rendre les années d’étude en échange d’une bourse, les étudiants à l’étranger ne se voient pas évoluer à Maurice et ne rentrent pas au pays. Pourquoi cette perception que l’herbe est plus verte ailleurs ? Tout simplement du fait que la corruption, le nivellement vers le bas, la perception d’une absence de méritocratie par les hommes politiques ont gangréné l'espoir d'un retour possible.
Si Maurice ressemble de plus en plus à Pravind’s Land, le secteur de l’éducation, pour sa part, semble de plus en plus contrôlé par les Dookun. Cela à la suite de la nomination du Dr Salem Saumtally à la présidence de la Higher Education Commission. Parenté par alliance à Leela Devi Dookun-Luchoomun, qui n’est autre que la ministre de tutelle. Les mauvaises langues soutiennent aussi que Preeaduth Chitamun, Pro-Chancellor et président du conseil d’administration du Conseil de l’Université de Maurice, est aussi un parent de Leela Devi Dookun-Luchoomun.
C’est sur ce même board que siège Asha Devi Dookun-Saumtally, l’épouse du Dr Salem Saumtally. Et comme un bonheur ne vient jamais seul, ces mauvaises langues rappellent que Shiv Luchoomun, le directeur de la Private Secondary Education Authority, n’est autre que le mari de la ministre. Quelle famille ! Mais précisons qu’il s’agit que de mauvaises langues… Leela Devi Dookun-Luchoomun n’est pas du genre à accaparer un secteur. Évidemment que non !
