La quarantaine de l’équipage fantôme, arraisonné au large d’Agalega le 10 janvier, vient de prendre fin.
Les membres d’équipage, au nombre de 9, peuvent donc être interrogés. Mais il y a un problème, celui de la langue. Les membres d’équipage parlent le Farsi, la langue officielle en Iran. Les éléments du CCID devront donc avoir recours à un interprète.
Soulignons que le navire de pêche avait arraisonné par le CGS Barracuda. Pour l’instant, il y a plusieurs hypothèses. Il pourrait s’agit d’un navire de contrebande, pour le transport de drogue ou la pêche illégale. Les neuf pêcheurs risquent d’être inculpés sous une accusation provisoire de navigation sans autorisation dans les eaux mauriciennes.
Les membres d’équipage, au nombre de 9, peuvent donc être interrogés. Mais il y a un problème, celui de la langue. Les membres d’équipage parlent le Farsi, la langue officielle en Iran. Les éléments du CCID devront donc avoir recours à un interprète.
Soulignons que le navire de pêche avait arraisonné par le CGS Barracuda. Pour l’instant, il y a plusieurs hypothèses. Il pourrait s’agit d’un navire de contrebande, pour le transport de drogue ou la pêche illégale. Les neuf pêcheurs risquent d’être inculpés sous une accusation provisoire de navigation sans autorisation dans les eaux mauriciennes.