Il estime que son arrestation et sa détention, en octobre 2011, sont illégales.
Dharmanand Dhooharika réclame réparation et évalue les torts qui lui ont été causés à Rs 3 millions. C’est le montant des dommages que l’ancien rédacteur en chef de Samedi Plus réclame à l’État dans sa plainte déposée en cour suprême le 15 janvier dernier.
Dharmanand Dhooharika s’appuie notamment sur une décision du Privy Council qui avait conclu, le 4 avril 2014, qu’il n’avait obtenu de procès équitable.
Il était poursuivi, rappelons-le, pour « scandalising the court ». Il avait été condamné à trois mois de prison, après la publication de deux articles dans Samedi Plus : dans l’un l’ancien avocat Dev Hurnam réclamait une enquête sur le chef juge d’alors, Bernard Sik Yuen et dans l’autre, un éditorial, Dharmanand Dhooharika a évoqué l’impartialité et l’indépendance des juges.
Le Judicial Committee du Privy Council avait annulé sa condamnation.
Dharmanand Dhooharika réclame réparation et évalue les torts qui lui ont été causés à Rs 3 millions. C’est le montant des dommages que l’ancien rédacteur en chef de Samedi Plus réclame à l’État dans sa plainte déposée en cour suprême le 15 janvier dernier.
Dharmanand Dhooharika s’appuie notamment sur une décision du Privy Council qui avait conclu, le 4 avril 2014, qu’il n’avait obtenu de procès équitable.
Il était poursuivi, rappelons-le, pour « scandalising the court ». Il avait été condamné à trois mois de prison, après la publication de deux articles dans Samedi Plus : dans l’un l’ancien avocat Dev Hurnam réclamait une enquête sur le chef juge d’alors, Bernard Sik Yuen et dans l’autre, un éditorial, Dharmanand Dhooharika a évoqué l’impartialité et l’indépendance des juges.
Le Judicial Committee du Privy Council avait annulé sa condamnation.