Le verdict est tombé mercredi 12 décembre 2018, en cour intermédiaire.
L'ancien maire de Quatre-Bornes Roshan Munee Seetohul avait été condamné à neuf mois d’emprisonnement, par la cour intermédiaire pour conflit d’intérêts. Il lui était reproché d’avoir attribué un étal à sa femme, Sandhya Devi Seetohul, née Dookhurrun, à la foire de Quatre-Bornes.
La cour a commué sa peine en 150 heures de travaux communautaires qu’il effectuera les mardis, les mercredis et les vendredis de 10 heures à 15 heures au Head Office du Probation Office à Beau-Bassin, à partir du 28 décembre 2018.
Il devra tous les quinze jours suivre des « counselling sessions » qui débuteront le 7 janvier 2019 et devra se présenter de nouveau devant la cour intermédiaire le 31 janvier 2019.
L’ancien maire de la ville des fleurs Roshan Munee Seetohul est un familier des "petits arrangements". Il avait échappé en 2016 à une amende et à la démolition d’une annexe de sa maison. Poursuivi pour construction illégale, il a été relaxé, pour des failles notées dans le dossier. La municipalité accuse l’ancien maire d’avoir transformé la structure en espace commercial sans détenir de permis ni plus ni moins.
L'ancien maire de Quatre-Bornes Roshan Munee Seetohul avait été condamné à neuf mois d’emprisonnement, par la cour intermédiaire pour conflit d’intérêts. Il lui était reproché d’avoir attribué un étal à sa femme, Sandhya Devi Seetohul, née Dookhurrun, à la foire de Quatre-Bornes.
La cour a commué sa peine en 150 heures de travaux communautaires qu’il effectuera les mardis, les mercredis et les vendredis de 10 heures à 15 heures au Head Office du Probation Office à Beau-Bassin, à partir du 28 décembre 2018.
Il devra tous les quinze jours suivre des « counselling sessions » qui débuteront le 7 janvier 2019 et devra se présenter de nouveau devant la cour intermédiaire le 31 janvier 2019.
L’ancien maire de la ville des fleurs Roshan Munee Seetohul est un familier des "petits arrangements". Il avait échappé en 2016 à une amende et à la démolition d’une annexe de sa maison. Poursuivi pour construction illégale, il a été relaxé, pour des failles notées dans le dossier. La municipalité accuse l’ancien maire d’avoir transformé la structure en espace commercial sans détenir de permis ni plus ni moins.