Cela concerne la contestation de l’Immigration Act par Lindsey Collen. La dirigeante de Lalit estime qu’on ne peut octroyer le pouvoir de retirer la citoyenneté mauricienne à tout(e) étranger(ère) marié(e) à un(e) Mauricien(ne) sans avoir à se justifier.
Pour elle, toute personne qui s’unit à un(e) Mauricien(ne) se retrouverait avec une épée de Damoclès permanente sur la tête. Encore que si l’on pouvait faire confiance à Pravind Jugnauth… Nous sommes dans la partie préliminaire de l’affaire. En effet, le défendeur, c’est-à-dire l’État, a réclamé des éclaircissements auprès de Lindsey Collen. Puis, le 12 janvier, son représentant a demandé plus de temps pour étudier les réponses fournies par la contestataire. Hier matin, l’affaire a été de nouveau appelée. Le représentant de l’État a demandé plus de temps. L’affaire a été renvoyée au 9 février prochain.
Pour elle, toute personne qui s’unit à un(e) Mauricien(ne) se retrouverait avec une épée de Damoclès permanente sur la tête. Encore que si l’on pouvait faire confiance à Pravind Jugnauth… Nous sommes dans la partie préliminaire de l’affaire. En effet, le défendeur, c’est-à-dire l’État, a réclamé des éclaircissements auprès de Lindsey Collen. Puis, le 12 janvier, son représentant a demandé plus de temps pour étudier les réponses fournies par la contestataire. Hier matin, l’affaire a été de nouveau appelée. Le représentant de l’État a demandé plus de temps. L’affaire a été renvoyée au 9 février prochain.
