C’est ce qu’a déclaré en substance le directeur général de la Commission anticorruption ce matin.
Il participait à un atelier de travail sur la nécessité d’encourager les bonnes pratiques au sein des ONGs. Évidemment, Navin Beekarry a été interrogé sur les pouvoirs de l’Icac de convoquer une personne qui détient un poste constitutionnel.
« L’Icac peut convoquer n’importe quelle personne dans le cadre d’une enquête si elle estime qu’il y a des éléments justifiant cette convocation », a déclaré Navin Beekarry.
Il a aussi longuement évoqué la promulgation d’une partie seulement de la Declaration of Assets Act. Il a déclaré que c’était pour permettre à l’Icac de constituer une équipe pour s’occuper des trois aspects de son mandat, c’est-à-dire recueillir les déclarations des avoirs, de gérer ces documents et d’en publier une partie.
Il a aussi indiqué que l’Icac prépare une campagne de sensibilisation sur la déclaration des avoirs, avec notamment la publication d’une newsletter sur le sujet.
Il participait à un atelier de travail sur la nécessité d’encourager les bonnes pratiques au sein des ONGs. Évidemment, Navin Beekarry a été interrogé sur les pouvoirs de l’Icac de convoquer une personne qui détient un poste constitutionnel.
« L’Icac peut convoquer n’importe quelle personne dans le cadre d’une enquête si elle estime qu’il y a des éléments justifiant cette convocation », a déclaré Navin Beekarry.
Il a aussi longuement évoqué la promulgation d’une partie seulement de la Declaration of Assets Act. Il a déclaré que c’était pour permettre à l’Icac de constituer une équipe pour s’occuper des trois aspects de son mandat, c’est-à-dire recueillir les déclarations des avoirs, de gérer ces documents et d’en publier une partie.
Il a aussi indiqué que l’Icac prépare une campagne de sensibilisation sur la déclaration des avoirs, avec notamment la publication d’une newsletter sur le sujet.