“Cette élection signifie tellement plus que Joe Biden ou moi. Il s’agit de l’âme de l’Amérique et de notre volonté de nous battre pour elle”.
Dès sa première réaction partagée sur Twitter après l’annonce de la victoire du ticket démocrate à la présidentielle, Kamala Harris a pris soin de souligner le caractère historique de cette élection. Tout un symbole après une campagne fortement marquée par les tensions raciales.
À 56 ans, la sénatrice de Californie et désormais vice-présidente-élue, née dans ce grand état de la côte ouest d’un père économiste jamaïcain et d’une mère indienne spécialiste du cancer du sein, aura incarné l’atout jeunesse du ticket démocrate, marquant les esprits par son dynamisme.
Masquée contre le coronavirus et respectant les distances de précaution comme Joe Biden, elle a mené une campagne plus active que le septuagénaire, dansant au rythme des fanfares ou rencontrant les clients de cafés... en extérieur, pandémie oblige.
Après deux mandats de procureure à San Francisco (2004-2011), elle avait été élue, deux fois, procureure générale de Californie (2011-2017), devenant alors la première femme, mais aussi la première personne noire, à diriger les services judiciaires de l’État le plus peuplé du pays.
Puis en janvier 2017, elle avait prêté serment au Sénat à Washington, s’inscrivant comme la première femme originaire d’Asie du Sud et seulement la deuxième sénatrice noire dans l’histoire.
Dès sa première réaction partagée sur Twitter après l’annonce de la victoire du ticket démocrate à la présidentielle, Kamala Harris a pris soin de souligner le caractère historique de cette élection. Tout un symbole après une campagne fortement marquée par les tensions raciales.
À 56 ans, la sénatrice de Californie et désormais vice-présidente-élue, née dans ce grand état de la côte ouest d’un père économiste jamaïcain et d’une mère indienne spécialiste du cancer du sein, aura incarné l’atout jeunesse du ticket démocrate, marquant les esprits par son dynamisme.
Masquée contre le coronavirus et respectant les distances de précaution comme Joe Biden, elle a mené une campagne plus active que le septuagénaire, dansant au rythme des fanfares ou rencontrant les clients de cafés... en extérieur, pandémie oblige.
Après deux mandats de procureure à San Francisco (2004-2011), elle avait été élue, deux fois, procureure générale de Californie (2011-2017), devenant alors la première femme, mais aussi la première personne noire, à diriger les services judiciaires de l’État le plus peuplé du pays.
Puis en janvier 2017, elle avait prêté serment au Sénat à Washington, s’inscrivant comme la première femme originaire d’Asie du Sud et seulement la deuxième sénatrice noire dans l’histoire.