Incompréhensible ! Comme une telle action a pu être entreprise ? Le procès contre un directeur de 55 ans a été rayé après 40 ans après les faits mais toutefois après 3 ans seulement de procédure.
L’homme d’affaires répondait de trois accusations d’attentat à la pudeur. Les délits remontent à 1982 à Grand Baie. Le prévenu avait alors 16 ans et la plaignante 5 ans. Il était accusé d’avoir commis des attouchements sur la fillette à trois reprises. Ce n’est cependant que le 16 janvier 2019 que des actions ont été initiées contre le directeur en cour intermédiaire. Cela faisait tout de même 37 ans après.
L’homme avait plaidé non coupable lors de son procès. 11 témoins avaient été assignés. Mais l’avocat du prévenu, Me Robin Ramburn, a réclamé le gel du procès pour « abus de procédure ». Il a obtenu gain de cause. La magistrate Shefali Ganoo-Arekion a indiqué qu’un enquêteur a confirmé qu’il n’y a aucune preuve scientifique disponible et que certains témoins sont entretemps décédés. Elle a ajouté que l’abus sexuel est un délit grave, mais que la cour ne peut permettre un abus de procédure en laissant une telle instruction se poursuivre. Elle a de ce fait ordonné le gel du procès.
L’homme d’affaires répondait de trois accusations d’attentat à la pudeur. Les délits remontent à 1982 à Grand Baie. Le prévenu avait alors 16 ans et la plaignante 5 ans. Il était accusé d’avoir commis des attouchements sur la fillette à trois reprises. Ce n’est cependant que le 16 janvier 2019 que des actions ont été initiées contre le directeur en cour intermédiaire. Cela faisait tout de même 37 ans après.
L’homme avait plaidé non coupable lors de son procès. 11 témoins avaient été assignés. Mais l’avocat du prévenu, Me Robin Ramburn, a réclamé le gel du procès pour « abus de procédure ». Il a obtenu gain de cause. La magistrate Shefali Ganoo-Arekion a indiqué qu’un enquêteur a confirmé qu’il n’y a aucune preuve scientifique disponible et que certains témoins sont entretemps décédés. Elle a ajouté que l’abus sexuel est un délit grave, mais que la cour ne peut permettre un abus de procédure en laissant une telle instruction se poursuivre. Elle a de ce fait ordonné le gel du procès.
