Me Navin Ramchurn fait l’objet de six plaintes de la part d’anciens clients. Ces derniers soutiennent qu’ils ont payé les honoraires de l’avocat mais que ce dernier n’a pas défendu leurs intérêts au mieux de ses capacités en cour.
Le Bar Council avait évoqué ce cas dans sa newsletter en date du 25 septembre dernier, indiquant qu’il songeait à suspendre l’avocat Ramchurn. Sauf que les raisons n’avaient pas été fournies dans le document.
Me Navin Ramchurn a rapidement riposté. Il a logé une demande d’injonction en cour suprême, réclamant que la Mauritius Bar Association (MBA) et le Bar Council sursoient à cette décision. L’Attorney General est cité comme codéfendeur.
Mardi, la demande de Me Ramchurn a été examinée par le juge Asraf Caunhye. Ce dernier a toutefois refusé d’émettre l’injonction. Mais les représentants du Bar Council ont été convoqués en cour le lundi 15 octobre pour expliquer pourquoi un tel ordre ne devrait pas être émis.
Le Bar Council reproche également à Me Ramchurn de n’avoir pas payé sa cotisation annuelle.
Précisons également que l’avocat avait été jugé en faillite suite à une plainte déposée par un de ses confrères pour dettes non-payées. Cet ordre fut ensuite annulé.
Le Bar Council avait évoqué ce cas dans sa newsletter en date du 25 septembre dernier, indiquant qu’il songeait à suspendre l’avocat Ramchurn. Sauf que les raisons n’avaient pas été fournies dans le document.
Me Navin Ramchurn a rapidement riposté. Il a logé une demande d’injonction en cour suprême, réclamant que la Mauritius Bar Association (MBA) et le Bar Council sursoient à cette décision. L’Attorney General est cité comme codéfendeur.
Mardi, la demande de Me Ramchurn a été examinée par le juge Asraf Caunhye. Ce dernier a toutefois refusé d’émettre l’injonction. Mais les représentants du Bar Council ont été convoqués en cour le lundi 15 octobre pour expliquer pourquoi un tel ordre ne devrait pas être émis.
Le Bar Council reproche également à Me Ramchurn de n’avoir pas payé sa cotisation annuelle.
Précisons également que l’avocat avait été jugé en faillite suite à une plainte déposée par un de ses confrères pour dettes non-payées. Cet ordre fut ensuite annulé.