Deux policiers ont confirmé jeudi qu’Iqbal Toofany ne portait aucune trace de blessure avant qu’il ne se retrouve au poste de police de Rivière-Noire.
Ils témoignaient dans le cadre du procès intenté à quatre officiers de police pour « torture ».
Ils étaient cinq policiers à être poursuivis au départ. Mais l’un d’eux est décédé entretemps.
Rappelons qu’Iqbal Toofany est mort dans la nuit du 1er au 2 mars 2015. Il avait été arrêté lors d’un contrôle de routine par des membres de l’Emergency Response Team au volant de sa nouvelle voiture. La vignette d’assurance et la plaque d’immatriculation ne correspondaient pas. Il n’avait pas son permis de conduire original en sa possession. Et les policiers ont vu une scie et trois téléphones portables, dans la voiture.
Ces trois facteurs font que ce père de famille de 42 ans a été arrêté et remis à la CID de Rivière-Noire pour enquête. Il est décédé le lendemain matin à l’hôpital Victoria. Il portait des ecchymoses sur le corps.
Le procès reprendra le 7 mai.
Ils témoignaient dans le cadre du procès intenté à quatre officiers de police pour « torture ».
Ils étaient cinq policiers à être poursuivis au départ. Mais l’un d’eux est décédé entretemps.
Rappelons qu’Iqbal Toofany est mort dans la nuit du 1er au 2 mars 2015. Il avait été arrêté lors d’un contrôle de routine par des membres de l’Emergency Response Team au volant de sa nouvelle voiture. La vignette d’assurance et la plaque d’immatriculation ne correspondaient pas. Il n’avait pas son permis de conduire original en sa possession. Et les policiers ont vu une scie et trois téléphones portables, dans la voiture.
Ces trois facteurs font que ce père de famille de 42 ans a été arrêté et remis à la CID de Rivière-Noire pour enquête. Il est décédé le lendemain matin à l’hôpital Victoria. Il portait des ecchymoses sur le corps.
Le procès reprendra le 7 mai.
