Avec un indice de 53, Maurice bouge légèrement sur l’indice de perception de Transparency International. Le pays sort de la 56e place pour atteindre la 52e place.
Bonne nouvelle ! Pas si sûr ! Car dans un communiqué émis pour annoncer cette information, Transparency Mauritius souligne que certains « récents événements », comme l’affaire St Louis, n’ont pas été pris en considération lors de l’exercice. Quid des affaires Angus Road ? Quid de l’affaire Kistnen ? Surtout que Transparency Mauritius souligne que le gouvernement voulait obtenir un indice de 66 et ainsi grimper davantage dans le classement. Mais le document souligne que pour ce faire, « il reste du travail à accomplir ».
Contentons nous alors du fait qu’en Afrique, Maurice garde la 5e place, derrière les Seychelles, le Botswana, le Cap Verde et le Rwanda. Mais toujours dans le communiqué, Transparency Mauritius soutient que Maurice est à la croisée des chemins concernant la gouvernance institutionnelle. Et que si certains indicateurs internationaux donnent de bonnes notes à Maurice, les autorités mauriciennes ont été appelées à se ressaisir avec la semonce du Groupe d’Action Financière et l’Union Européenne.
Mieux, Transparency Mauritius estime que la République fait face, aujourd’hui, à un déficit institutionnel du fait d’un népotisme désespérant mais parfaitement légal si l’on s’arrête à l’aspect procédural. Il souligne que les lois n’ont pas été votées pour un petit groupe de protégés au détriment de la majorité.
Bonne nouvelle ! Pas si sûr ! Car dans un communiqué émis pour annoncer cette information, Transparency Mauritius souligne que certains « récents événements », comme l’affaire St Louis, n’ont pas été pris en considération lors de l’exercice. Quid des affaires Angus Road ? Quid de l’affaire Kistnen ? Surtout que Transparency Mauritius souligne que le gouvernement voulait obtenir un indice de 66 et ainsi grimper davantage dans le classement. Mais le document souligne que pour ce faire, « il reste du travail à accomplir ».
Contentons nous alors du fait qu’en Afrique, Maurice garde la 5e place, derrière les Seychelles, le Botswana, le Cap Verde et le Rwanda. Mais toujours dans le communiqué, Transparency Mauritius soutient que Maurice est à la croisée des chemins concernant la gouvernance institutionnelle. Et que si certains indicateurs internationaux donnent de bonnes notes à Maurice, les autorités mauriciennes ont été appelées à se ressaisir avec la semonce du Groupe d’Action Financière et l’Union Européenne.
Mieux, Transparency Mauritius estime que la République fait face, aujourd’hui, à un déficit institutionnel du fait d’un népotisme désespérant mais parfaitement légal si l’on s’arrête à l’aspect procédural. Il souligne que les lois n’ont pas été votées pour un petit groupe de protégés au détriment de la majorité.
