L'épidémie de Covid-19 est totalement hors de contrôle en Inde. Alors que la seconde vague qu'affronte le pays est en partie imputable à l'émergence d'un nouveau variant, le B.1.617, il s'agirait d'un variant «triple mutant».
Un million de cas en quatre jours
L'Inde est complètement submergée par la flambée de l'épidémie sur son territoire. Les grandes villes du pays sont les principaux foyers de contamination. Parmi elles figure New Delhi, la capitale, où le service de santé est au bord du gouffre. Les hôpitaux de la mégapole font face à une importante pénurie d'oxygène, tandis que les médicaments manquent sur tout le territoire.
C'est dans ce contexte que le gouvernement indien tente de réprimer les voix dissidentes - sur les réseaux sociaux. Jeudi, le gouvernement indien a ordonné à Twitter de bloquer plus de 50 tweets critiquant la façon dont il a géré la pandémie. Twitter s'est conformé, empêchant les habitants du pays de consulter les messages de personnes qui comprennent un ministre d'État, un membre de l'opposition au Parlement indien, à l'acteur Vineet Kumar Singh et aux cinéastes Vinod Kapri et Avinash Das des cinéastes, deux journalistes et plusieurs personnes lambdas.
Malgré les chiffres, Modi a continué à organiser des rassemblements électoraux massifs et des rassemblements religieux
Bien que Twitter n'ait pas commenté publiquement, précisant quels tweets il a bloqués ou pourquoi les tweets ont été bloqués, il aurait envoyé un avis aux utilisateurs qui ont fait ces tweets, disant que les tweets étaient en violation des lois indiennes selon le gouvernement indien. L'avis que Twitter a reçu faisait référence à l'Indian IT Act 2000 et demandait à Twitter de prendre des mesures contre les tweets spécifiés.
L'un des tweets restreints appartient à Moloy Ghatak, un ministre du parti All India Trinamool Congress de l'État du Bengale occidental, où le Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi a récemment organisé des rassemblements électoraux massifs alors que des centaines de milliers d'Indiens ont été testés positifs au COVID-19.
Le gouvernement a également restreint des dizaines de tweets critiquant Modi ou partageant des photos des crématoriums et hôpitaux débordants de l'Inde. Les tweets auraient mis en évidence soit les faux pas du gouvernement, soit les misères des personnes prises dans la pandémie de Covid-19. Au cours des dernières semaines, les cas de Covid en Inde ont fortement augmenté et il y a un manque criant de lits d'hôpital, d'oxygène médical et de médicaments.
A noter les tweets sont toujours disponibles s'ils sont accessibles depuis l'extérieur de l'Inde.
C'est la deuxième fois ces derniers mois que le gouvernement indien demande à Twitter de bloquer les tweets. Auparavant, alors que la manifestation des agriculteurs prenait de l'ampleur, l'Inde avait demandé à Twitter de supprimer ou bloquer plusieurs tweets.
Un million de cas en quatre jours
L'Inde est complètement submergée par la flambée de l'épidémie sur son territoire. Les grandes villes du pays sont les principaux foyers de contamination. Parmi elles figure New Delhi, la capitale, où le service de santé est au bord du gouffre. Les hôpitaux de la mégapole font face à une importante pénurie d'oxygène, tandis que les médicaments manquent sur tout le territoire.
C'est dans ce contexte que le gouvernement indien tente de réprimer les voix dissidentes - sur les réseaux sociaux. Jeudi, le gouvernement indien a ordonné à Twitter de bloquer plus de 50 tweets critiquant la façon dont il a géré la pandémie. Twitter s'est conformé, empêchant les habitants du pays de consulter les messages de personnes qui comprennent un ministre d'État, un membre de l'opposition au Parlement indien, à l'acteur Vineet Kumar Singh et aux cinéastes Vinod Kapri et Avinash Das des cinéastes, deux journalistes et plusieurs personnes lambdas.
Malgré les chiffres, Modi a continué à organiser des rassemblements électoraux massifs et des rassemblements religieux
Bien que Twitter n'ait pas commenté publiquement, précisant quels tweets il a bloqués ou pourquoi les tweets ont été bloqués, il aurait envoyé un avis aux utilisateurs qui ont fait ces tweets, disant que les tweets étaient en violation des lois indiennes selon le gouvernement indien. L'avis que Twitter a reçu faisait référence à l'Indian IT Act 2000 et demandait à Twitter de prendre des mesures contre les tweets spécifiés.
L'un des tweets restreints appartient à Moloy Ghatak, un ministre du parti All India Trinamool Congress de l'État du Bengale occidental, où le Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi a récemment organisé des rassemblements électoraux massifs alors que des centaines de milliers d'Indiens ont été testés positifs au COVID-19.
Le gouvernement a également restreint des dizaines de tweets critiquant Modi ou partageant des photos des crématoriums et hôpitaux débordants de l'Inde. Les tweets auraient mis en évidence soit les faux pas du gouvernement, soit les misères des personnes prises dans la pandémie de Covid-19. Au cours des dernières semaines, les cas de Covid en Inde ont fortement augmenté et il y a un manque criant de lits d'hôpital, d'oxygène médical et de médicaments.
A noter les tweets sont toujours disponibles s'ils sont accessibles depuis l'extérieur de l'Inde.
C'est la deuxième fois ces derniers mois que le gouvernement indien demande à Twitter de bloquer les tweets. Auparavant, alors que la manifestation des agriculteurs prenait de l'ampleur, l'Inde avait demandé à Twitter de supprimer ou bloquer plusieurs tweets.
