Ce jeudi 28 octobre, la Haute Cour de Bombay a finalement accordé une libération sous caution au fils de la superstar de Bollywood Shahrukh Khan et de Gauri Khan, Aryan Khan, qui est détenu à la prison d’Arthur Road à Mumbai dans le cadre d’une affaire de drogue depuis début octobre.
La Haute Cour de Bombay a accordé la libération sous caution aux trois accusés, Aryan Khan, Arbaaz Merchant et Munmun Dhamecha dans le cadre de l’affaire de drogue présumée. Ils sortiront de la prison une fois que l’ordonnance aura été rendue par le tribunal, soit ce vendredi ou samedi a annoncé l'ancien AG Mukul Rohatgi, qui représentait Aryan Khan.
Rappelons que Aryan Khan a été arrêté le 3 octobre dernier par le Bureau de contrôle des stupéfiants (BNC) avec son ami Arbaaz Merchant (26 ans) et le mannequin Munmun Dhamecha (28 ans). Le trio est actuellement en détention judiciaire. Alors qu’Aryan Khan et Merchant sont hébergés à la prison d’Arthur Road dans le centre de Mumbai, Dhamecha est à la prison pour femmes de Byculla.
Un tribunal spécial, désigné pour entendre les affaires liées à la loi sur les stupéfiants et les substances psychotropes (NDPS), avait refusé de leur accorder une libération sous caution, notant qu' »ils faisaient partie du complot ».
La Haute Cour de Bombay a accordé la libération sous caution aux trois accusés, Aryan Khan, Arbaaz Merchant et Munmun Dhamecha dans le cadre de l’affaire de drogue présumée. Ils sortiront de la prison une fois que l’ordonnance aura été rendue par le tribunal, soit ce vendredi ou samedi a annoncé l'ancien AG Mukul Rohatgi, qui représentait Aryan Khan.
Rappelons que Aryan Khan a été arrêté le 3 octobre dernier par le Bureau de contrôle des stupéfiants (BNC) avec son ami Arbaaz Merchant (26 ans) et le mannequin Munmun Dhamecha (28 ans). Le trio est actuellement en détention judiciaire. Alors qu’Aryan Khan et Merchant sont hébergés à la prison d’Arthur Road dans le centre de Mumbai, Dhamecha est à la prison pour femmes de Byculla.
Un tribunal spécial, désigné pour entendre les affaires liées à la loi sur les stupéfiants et les substances psychotropes (NDPS), avait refusé de leur accorder une libération sous caution, notant qu' »ils faisaient partie du complot ».
