Ramjuttun Moher, dit Dhiren, fait partie des personnes qui ont ouvertement parlé de leur séropositivité, parce que le VIH/Sida est encore tabou à Maurice. Ancien président de Prévention, information et lutte contre le sida (PILS) et décoré de la République, Dhiren Moher a été élevé au rang de Officer of the Star and Key of the Indian Ocean. Personnage connu pour être un homme de terrain, il fait l'objet d'une polémique entourant des messages invitant à la « provocation à la haine raciale » et « injure à caractère raciste ».
Cet habitant de Port-Louis, du centre-ville, fait désormais partie d’un groupe de fanatiques qui incitent à la haine raciale et dont certains de ses membres veulent avoir des fusils, si ce n’est des sabres. L’homme qui avait une certaine largesse d’esprit, aujourd’hui, prétend faire le tour du pays et constate que les hindous sont en colère.
Dans une vidéo publiée, par la Rédaction de Zinfos Moris, Dhiren Moher ne nie pas être un des auteurs des messages qui circulent sur Whatsapp, mais se dédouane dans des explications assez farfelues.
Quel est le rôle de la Loterie blanc dans le positionnement des Moher ?
De "pyromane", Dhiren Moher s'estime être une victime. Allant jusqu'à menacer ceux qui s'en prendraient à ses proches, des "professionnels", notamment son épouse, Karishma Beeharry-Moher, qui travaille pour un organisme d’État, Mauritius Telecom. Rappelons que les messages incriminent également cette ancienne journaliste et les membres du groupe Har Har.
Incitation à la haine raciale, la tête de Karishma Beeharry-Moher réclamée
Le groupe socio-culturelle 'Har Har' dont il se dit membre, fait la promotion de la culture hindoue, sauf qu'en témoigne les messages, il est surtout question de la préservation des hindoues sur l'île.
Rappelons que Me Lovena Sowkhee, accompagné de Me Rouben Mooroongapillay ont porté plainte pour ces publications sur les réseaux sociaux, vendredi. Me Mooroongapillay a demandé au Premier ministre de suggérer à ses troupes de stopper cette propagation de la haine raciale.
Cet habitant de Port-Louis, du centre-ville, fait désormais partie d’un groupe de fanatiques qui incitent à la haine raciale et dont certains de ses membres veulent avoir des fusils, si ce n’est des sabres. L’homme qui avait une certaine largesse d’esprit, aujourd’hui, prétend faire le tour du pays et constate que les hindous sont en colère.
Dans une vidéo publiée, par la Rédaction de Zinfos Moris, Dhiren Moher ne nie pas être un des auteurs des messages qui circulent sur Whatsapp, mais se dédouane dans des explications assez farfelues.
Quel est le rôle de la Loterie blanc dans le positionnement des Moher ?
De "pyromane", Dhiren Moher s'estime être une victime. Allant jusqu'à menacer ceux qui s'en prendraient à ses proches, des "professionnels", notamment son épouse, Karishma Beeharry-Moher, qui travaille pour un organisme d’État, Mauritius Telecom. Rappelons que les messages incriminent également cette ancienne journaliste et les membres du groupe Har Har.
Incitation à la haine raciale, la tête de Karishma Beeharry-Moher réclamée
Le groupe socio-culturelle 'Har Har' dont il se dit membre, fait la promotion de la culture hindoue, sauf qu'en témoigne les messages, il est surtout question de la préservation des hindoues sur l'île.
Rappelons que Me Lovena Sowkhee, accompagné de Me Rouben Mooroongapillay ont porté plainte pour ces publications sur les réseaux sociaux, vendredi. Me Mooroongapillay a demandé au Premier ministre de suggérer à ses troupes de stopper cette propagation de la haine raciale.